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Distribution

Volvo recrute des distributeurs en France

Publié le 4 juillet 2014

Par Alexandre Guillet
2 min de lecture
En marge d'un vaste point d'information semestriel, Yves Pasquier-Desvignes a indiqué que Volvo France comptait ouvrir 15 nouveaux points de représentation dans les mois qui viennent.

Avec le maintien et l'aisance qu'on lui connaît, Yves Pasquier-Desvignes a effectué sa première sortie médiatique depuis son arrivée à la tête de Volvo France il y a désormais deux mois. Pro memoria, rappelons qu'il succède à Pascal Bellemans après un bref intérim assuré par Pierre Janthial.

Au-delà d'un vaste tour d'horizon de la stratégie de la marque, dont vous trouverez un compte-rendu dans notre prochaine édition print, Yves Pasquier-Desvignes a donc annoncé que la marque cherchait à recruter des nouveaux concessionnaires en France : "15 nouveaux points de représentation sont actuellement à l'étude. Il s'agit essentiellement de villes de taille intermédiaire comme Montélimar ou Chalon-sur-Saône par exemple".

Le réseau Volvo s'articule actuellement autour de 51 investisseurs pour 120 sites, 110 sites de vente et de services et 10 points de services. Un maillage jugé "trop court" par Yves Pasquier-Desvignes au regard des objectifs commerciaux de la marque et de son ambition de croissance. Volvo France table sur 13000 ventes en 2014 et sur une pénétration de 1% à moyen terme, "si possible avant 2020". Il va de soi que la rentabilité du réseau doit rester prioritaire, "une rentabilité qui s'est établie à 1,4% en 2013, un niveau élevé dans le secteur, malgré un premier semestre dans le rouge".

Par ailleurs, Volvo poursuit le déploiement de la nouvelle norme VRE, pour Volvo Retail Experience. Trois sites l'ont déjà adoptée et elle concernera toutes les concessions d'ici 2018. L'investissement des distributeurs varie beaucoup selon les cas de figure, de 150000 euros pour un "toilettage" à 600000 ou 700000 euros en cas de reconstruction du site. Yves Pasquier-Desvignes a affirmé sa volonté de privilégier l'exclusivité et de déployer uniformément la norme VRE, tout en indiquant qu'il fallait aussi prendre en considération le potentiel des zones de chalandise pour bien calibrer l'investissement et que la rationalité économique primait sur le reste, citant l'exemple de Carcassonne. 

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