"Le concept nous permet d’aller au-delà du niveau d’exigence du constructeuré"
JOURNAL DE L’AUTOMOBILE. Quel a été l’impact de l’ouverture du Drive-In, d’abord à Arlon, mais également à Reims ?
JEAN-CHARLES ROY. En 2004, sur le site d’Arlon, où le Drive-In a été agrandi à trois reprises, le groupe commercialisait un VO pour trois VN. Depuis 2009, nous sommes sur un rapport d’un VO pour un VN, et l’activité occasion tend même à prendre le pas sur le VN depuis le début de l’année. A Reims, le concept étant déjà éprouvé, nous sommes quasiment sur un ratio d’un VO pour un VN BMW commercialisé.
Au niveau des marchands, nous n’avons pas observé d’impact au niveau des volumes, mais davantage sur la marge, du fait de la présentation des véhicules, avec un espace dédié aux professionnels, et une préparation identique à celle des véhicules particuliers.
JA. Comment le Drive-In VO cohabite-t-il avec le label du constructeur ?
YANN LE FLOCHMOAN. On ne peut mieux car nous avons la chance de représenter une marque Premium qui propose un label de qualité, mais également de bons produits. Aussi, nous nous devions d’avoir une belle exposition pour nos voitures d’occasion. Il était également important d’innover car l’image que nous renvoyons dans notre zone d’influence via cette aire d’exposition est très importante. Nous respectons les standards du constructeur et le concept nous permet même d’aller un peu au-delà du niveau d’exigence requis.
JA. Quelle est la prochaine étape concernant le Drive-In VO ?
YLF. Nous avons encore d’autres projets, bien sûr, avec notamment deux sites qui feront l’objet d’une rénovation de l’immobilier, dans une échéance à moyen terme. Mais nous allons d’abord œuvrer à bien faire fonctionner le site rémois.
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