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Distribution

La passe de six pour Autovalley

Publié le 17 décembre 2010

Par Benoît Landré
2 min de lecture
L’enseigne Autovalley qui a ouvert son sixième site physique en novembre à Caen devrait commercialiser 2 500 voitures d’occasion en 2010. Un bilan satisfaisant malgré une fin d’année compliquée.
Laurent Feldman, directeur général d’Autovalley.

La filiale d’Arval, spécialisée dans la vente de voitures d’occasion à particuliers, a accéléré son développement en 2010 avec l’ouverture de deux nouveaux sites physiques à Limoges, en mars, et à Caen, en novembre. « Notre stratégie repose sur trois critères : reprendre uniquement des bâtiments en location, en région, et dans des pôles automobiles», rappelle Laurent Feldman, directeur général d’Autovalley. Inauguré en mars 2009, le site toulousain s’est renforcé cet été d’un espace de 1 500 m2 dédié à la vente de véhicules utilitaires d’occasion. Un développement qui devrait être dupliqué sur un autre site l’an prochain.

Au total, depuis le déploiement du réseau entamé en 2007 à Guyancourt (78), Autovalley s’appuie aujourd’hui sur six sites physiques. L’enseigne devrait commercialiser 2 500 VO en 2010, soit une progression de 56 % par rapport à l’an passé. Cette hausse des volumes s’est également accompagnée d’une progression de 10 % des marges unitaires.

Structuration et consolidation en 2011

Les véhicules commercialisés par la société ont affiché 46 mois et 78 000 km, pour un prix moyen de 12 000 € (TTC). « L’allongement des contrats de location n’a pas eu d’impact significatif sur notre activité. Nos véhicules ont pris environ 3 à 4 mois et 10 000 km de plus que l’an passé », informe Laurent Feldman.

L’exercice 2011 sera placé sous le signe de la consolidation et de l’optimisation des sites existants. Plusieurs axes de progression, tels que la politique de reprises, les achats, la vente de produits complémentaires ou encore la rénovation, ont été identifiés en vue d’accroître la profitabilité des affaires. « Au global, les six sites sont à l’équilibre mais nous ne dégageons pas encore assez de bénéfices pour couvrir les frais de notre structure centrale de coordination », conclut Laurent Feldman.

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