BYmyCAR mise sur son salon automobile virtuel
Les initiatives commerciales se confirment avec le projet de BYmyCAR d'organiser un salon automobile digital. Animé par une équipe d'e-vendeurs, cet espace virtuel propose à la vente, jusqu'au 30 novembre 2020, un stock de plus de 7 700 VO, VN et VD, issus des concessions du groupe.
Le salon est animé par des e-vendeurs chargés d'accompagner les internautes dans leur visite, et, pourquoi pas, leur achat.
(Re)donner le goût aux Français d’acheter un véhicule : telle est l’ambition du groupe BYmyCAR qui vient d'inaugurer un salon de l’automobile virtuel. Sur cette vitrine, accessible depuis le site du distributeur, sont proposés à l’heure actuelle plus de 7 700 véhicules, neufs, d’occasion ou encore de démonstration de 18 marques, immédiatement disponibles dans les concessions de l'opérateur. Dont, du coté des modèles neufs, les dernières nouveautés du jour, telles que les électriques chez Volkswagen, ou encore la gamme Cupra.
La notion de salon prend tout son sens, puisque l’opération, proposée jusqu’au 30 novembre, s’inscrit dans une durée limitée et que les véhicules disponibles à la vente sont associés à des offres commerciales spécifiques. "Les habitués des salons s’attendent à pouvoir réaliser de bonnes affaires grâce à des offres spécifiques. Nous avons donc voulu jouer le jeu commercialement", explique Rémy Lahlaoui, responsable marketing de la plaque Rhône-Isère-Loire du groupe.
Au programme, le groupe BYmyCAR prévoit d'offrir des extensions de garantie, des financements à taux zéro ou trois mois de loyer sur les VN, le prochain entretien sur les VO, sinon plus classiquement, des remises. La création de ce salon répond à une double volonté pour le groupe qui souhaite s’imposer comme précurseur dans l'univers de la distirbution en matière de commerce en ligne, mais aussi répondre aux besoins de ses clients dans les circonstances actuelles. "Nous savons que les salons sont des rendez-vous plébiscités par les amoureux de l’automobile, nous avons donc essayé de retranscrire ça, à notre échelle, sans avoir la prétention de reconstituer le salon de Paris ou Genève bien sûr", complète Rémy Lahlaoui.
Des e-vendeurs à disposition
Cette nouvelle initiative s’appuie sur un dispositif récemment annoncé et mis en place par le distributeur il y a quelques jours : le déploiement d’une équipe de 150 e-vendeurs. Ces commerciaux du groupe, spécifiquement formés, se tiennent à la disposition des visiteurs du salon, prospects, clients ou simples curieux, par téléphone ou chat, pour les accompagner dans leur parcours de découverte ou d'achat. Ainsi, chaque e-vendeur oeuvre à partir d’une interface lui permettant de se connecter en direct avec l’internaute, et de lui partager son écran afin d’échanger les documents nécessaires.
Toutes les étapes peuvent être réalisées à distance, de la découverte et du choix du véhicule, grâce à la visioconférence, à la proposition de reprise, en passant par la simulation du financement et de l’édition du bon de commande, signé électroniquement. Sans oublier bien sur l'e-paimenent. "Faire un salon, oui, mais il fallait se donner les moyens techniques afin d’accompagner les clients qui n’ont encore pas forcément l’habitude d’acheter leur véhicule sur le web, souligne le responsable marketing. L’idée est d’offrir les mêmes prestations qu’en point de vente physique."
Une demande des clients toujours présente
Comme le permet actuellement la législation en matière de click & collect, le client pourra venir récupérer son véhicules sur rendez-vous, en concession, ou se faire livrer son achat à domicile. L’opérateur propose en ce moment la livraison gratuite, dans un périmètre de 100 km autour de la concession dans laquelle est stocké le véhicule. Pour la prise en main, un tutoriel explicatif est envoyé aux clients sur l’utilisation de son véhicule, tandis qu’un rendrez-vous visiochat peut être programmé quelques jours après la livraison pour un complément d’explication, si nécessaire.
"Toutes ces initiatives, nées de notre cellule digitale, ont été pensées il y a bien longtemps. Mais la crise du coronavirus a été l’occasion de les concrétiser. D’autant que, même si l’activité n’est pas la même comparée à une période normale, nous sentons que les consommateurs sont toujours enclins à investir dans une voiture. Le commerce est loin d’être à l’arrêt", conclut, optimiste, Rémy Lahlaoui.
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