S'abonner
Distribution

Aramisauto confirme Nicolas Bossard à la direction commerciale

Publié le 7 novembre 2024

Par Gredy Raffin
2 min de lecture
La filiale française d'Aramis Group, acteur de la vente de voitures d'occasion, a annoncé la nomination de Nicolas Bossard au poste de directeur commercial. Un rôle qu'il occupe depuis plusieurs mois, à la suite du départ de Charlotte Souleau.
Aramisauto directeur commercial
Nicolas Bossard, directeur commercial d'Aramisauto. ©Aramisauto

Nicolas Bossard devient le nouveau directeur commercial d'Aramisauto. La filiale française d'Aramis Group l'a confirmé, le 7 novembre 2024, dans ses nouvelles prérogatives. Il succède à Charlotte Souleau. Après deux ans à ce poste, elle avait décidé de rejoindre Back Market France en qualité de directrice générale.

 

Passé brièvement par Auto1 Group, Nicolas Bossard s'est engagé chez Aramisauto en juin 2021 en tant que responsable de région. Il aura ensuite eu à peine le temps d'assurer le rôle de directeur du développement, avant d'être propulsé vers ses nouvelles fonctions de directeur commercial, en janvier 2024.

 

Il connaît bien la maison spécialisée dans le reconditionnement et la revente de voitures d'occasion. Nicolas Bossard avait par le passé fait un premier passage chez Aramisauto. Entre 2005 et 2018, il a été responsable d'agence, puis du développement réseau. Il aura gravi les échelons pour être nommé directeur régional en Rhône-Alpes et en Provence-Alpes Côte d’Azur, puis de la région Ouest Centre.

 

A lire aussi : Aramisauto confie son usine historique à Aurélie Martins

 

Outre la filiale de Stellantis, le groupe Pigeon et Zanzicar lui auront aussi donné des responsabilités. Nicolas Bossard y a été respectivement directeur commercial VO et directeur commercial.

Vous devez activer le javacript et la gestion des cookies pour bénéficier de toutes les fonctionnalités.
Partager :

Sur le même sujet

Vos commentaires

  1. Pour Aramis, trés bien tout cela
    Aucune remise en cause de ces pitoyables résultats

    En tant qu'actionnaire, je trouve la situation ridicule et grave

    Si Stellantis, le propriétaire, avait vu la valeur de son action baisser de 65% depuis le debut de l'année, Monsieur Carlos serait dehors depuis longtemps
    Mais , au fait , n'est ce pas le même ?

    Comme quoi le métier de mandataire (soigneusement caché) n'est pas si facile
    Aramis n'est pas un centre de profit (ce que j'aurais dû réaliser avant d'y investir)
    Marc Lasnier

Laisser un commentaire

cross-circle