Les dernières statistiques de l'Acea montrent un recul de 18,3 % des immatriculations de véhicules diesel dans l'Union européenne en 2018, au plus grand bénéfice de l'essence. La part des véhicules électriques atteint 2 % du marché.
Pour le premier mois de l’année, la demande européenne en VUL s’est accrue de 6,1 %. Chacun des cinq plus gros marchés a bénéficié de cette dynamique, selon l'ACEA.
Après la baisse historique de 2018, une première depuis 20 ans, les ventes de véhicules neufs ont à nouveau reculé en janvier 2019 de 15,8 % et seulement 2,37 millions d'unités écoulées.
Après un dernier quadrimestre 2018 en baisse, le marché européen débute logiquement l'exercice 2019 avec un repli de 4,6 %. Avec 1,2 million de VP immatriculés, ce premier mois de l'année 2019 demeure toutefois le deuxième meilleur mois de janvier depuis 2009.
Selon les chiffres publiés par l'ACEA, les immatriculations de véhicules électriques ont connu un véritable essor, en 2018, atteignant le volume de 150 000 unités.
Carlos Tavares, président de l'ACEA, imagine un marché stable en 2019 mais pointe aussi les nombreux défis auxquels devra faire face l'industrie automobile dans les mois à venir. A commencer par les émissions de CO2 et le Brexit.
En 2018, la part du diesel dans les immatriculations européennes de VP est tombée à moins de 36 %. Une chute au profit de l’essence mais aussi, dans une moindre mesure, des motorisations électrifiées dont la pénétration reste cependant faible.
En janvier 2019, la croissance du marché du VP neuf a marqué le pas, alors que la plupart des marques ont souffert sur le canal des particuliers. Certains résultats auraient pu être cependant bien pires sans les canaux tactiques.
Avec seulement 34,2 % des immatriculations en janvier 2019, le diesel perd encore 2 points par rapport au mois précédent. Une désaffection, certes, mais aussi une chute mécanique liée à l'offre sur les segments A et B qui dominent le marché français.
Selon une étude du centre d'observation belge Gocar Data, 30 % des véhicules d'occasion représentant une valeur marchande de 805,2 millions d'euros attendent de trouver preneurs depuis au moins quatre mois.
Après une fin d'année 2018 difficile, le marché allemand débute l'exercice 2019 avec une baisse de 1,4 %. Le passage au WLTP n'est toujours pas complétement digéré alors qu'une crainte de ralentissement économique pointe.
Après un exercice 2018 en retrait (-0,8 %), le marché du véhicule de seconde main redresse la tête sous l'impulsion des VO récents. En effet, ceux de moins de 4 ans progressent de 15,7 % en janvier.
2019 débute sur une note positive pour le marché des flottes avec 65 338 immatriculations de VL au compteur, un total en progression de 3,4 % par rapport à janvier 2018. Le repli constaté du côté des VP (-2,3 %) est compensé par la forte poussée des VUL (+11,6 %).
2019 s'annonçait compliquée pour le marché automobile français, janvier confirme déjà les craintes. Ce premier mois de l’année a été marqué par un repli des immatriculations de 1,1 %. Voici les dix points marquants, selon les données AAA Data.
L'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), a révélé les principaux chiffres du marché automobile européen du véhicule particulier. En résumé : une stagnation pour cette année 2018, marquée par des performances très contrastées selon les pays et les marques.
A l'occasion de l'ouverture du salon de Détroit, la Nada, l'association des distributeurs américains, a fait savoir qu'elle imaginait un marché 2019 proche de 16,8 millions d'unités.
Après une bonne année 2018, où les ventes ont progressé de 12,8 %, le marché russe devrait rester bien orienté en 2019 mais avec une croissance moins forte.
Après cinq années consécutives de croissance, le marché français du VP neuf devrait, au mieux, stagner, ou, dans le plus sombre des scenarii, reculer. C’est ce que prévoit l’Observatoire Cetelem qui a dévoilé les résultats de sa dernière enquête.
S'il est bien un segment de véhicules qui a remporté la mise en 2018, c'est celui des modèles polyvalents, trusté par la Renault Clio et la Peugeot 208, toutes deux renouvelées en 2019. Les SUV pèsent désormais 36 % des cartes grises.
Tous les voyants sont au vert pour le marché du véhicule industriel. En 2018, ses immatriculations ont affiché une forte croissance, atteignant les 54 500 unités. Porteurs, tracteurs, VUL… tous les segments en ont profité.
Si, sur l'ensemble de l'exercice 2018, les ventes de motorisations diesel restent largement majoritaires sur le marché de l'occasion, c'est loin d'être le cas sur les VO récents où les modèles essence sont désormais plébiscités.
Le marché de la seconde main a retrouvé des couleurs en 2018 avec une hausse des transactions de l'ordre de 6,6 % à plus de deux millions d'unités écoulées. Les VO de moins de trois ans ont tiré ce marché avec une progression de 22 % et 440 443 unités.
Selon l’Observatoire Cetelem, le marché automobile mondial montre des signes d’essoufflement depuis le second semestre 2018. Une méforme qui pourrait déboucher sur une croissance très faible en 2019.
Les ventes de voitures neuves ont chuté de 6,8 % au Royaume-Uni en 2018, à 2,36 millions d’unités. Un déclin lié à l’effondrement de la demande en véhicules diesel, de près de 30 %.
2019 sera l'année où les véhicules leaders que sont la Renault Clio et la Peugeot 208 seront renouvelés. Mais beaucoup d'incertitudes règnent sur l'économie et les constructeurs restent prudents avec une prévision de marché stable.
Selon les données AAA Data, le grammage moyen en CO2 des véhicules particuliers neufs vendus en France a atteint 112 g. A l’origine de cette hausse, la combinaison du recul du diesel, du succès des SUV et de l'application du cycle WLTP.
Avec 3,44 millions d'immatriculations en 2018, le premier marché d'Europe a reculé de 0,2 %. Un dernier quadrimestre tronqué par le WLTP explique en partie cette baisse. Pour 2019, les immatriculations devraient rester stables.
Avec un mois de décembre au ralenti (-0,8 %), le marché de la seconde main termine l'exercice 2018 en retrait de 0,8 % totalisant 5,63 millions d'unités. Mais les VO de moins de 5 ans représentent désormais 36 % des transactions.
Passablement perturbé par l’entrée en vigueur du cycle WLTP, le marché automobile a malgré tout terminé l’année en progression de 3 %. Des disparités entre les constructeurs ont toutefois été constatées, certains ayant renforcé leurs positions sur des canaux sains, d’autres ayant eu recours aux immatriculations tactiques.
La tête du classement des véhicules particuliers les plus vendus aux professionnels fait la part belle aux Français, mais aussi aux SUV qui s’imposent désormais largement.
Les immatriculations de véhicules sur le marché des flottes ont grimpé de 3 % en 2018, pour atteindre un niveau record de 818 648 unités. Un bilan positif qui a toutefois été terni par une fin d’année chaotique liée à l’entrée en vigueur du nouveau cycle d’homologation WLTP.
La croissance a été au rendez-vous en 2018 sur le marché des VUL aux professionnels avec, comme traditionnellement, une forte présence des Français et en particulier de Renault.
Avec 117 919 immatriculations cumulées, Peugeot a devancé Renault d’un souffle sur le marché des voitures particulières en entreprises en 2018. Un dépassement qui s’est dessiné dans la dernière ligne droite de l’année.
2018 est venu confirmer le déclin du diesel dans les immatriculations des véhicules particuliers neufs en France. Jamais la part de ce carburant n’a été aussi faible, ce qui a logiquement profité à l'essence mais aussi aux énergies alternatives.
Le classement des 50 voitures particulières les plus immatriculées en France en 2018 est dominé par la Renault Clio devant les Peugeot 208 et 3008. Le premier modèle importé, la Volkswagen Polo, se classe en 13e position.