Le marché du VUL accentue sa hausse en février

Peu concerné pas les primes à la casse, le marché français des VUL (moins de 5,1 tonnes) accentue sa montée en puissance “naturelle” avec une nouvelle variation positive de 13,9 %. 35 252 unités ont été immatriculées en février 2011. A titre de comparaison, 38 308 unités avaient été immatriculées en février 2007, dernière année de référence pour le marché des VUL. Doucement, on se rapproche des volumes d’avant-crise.

Renault a immatriculé 12 453 VUL en février, soit un bond de 27,6 % par rapport à l’an passé. Avec 6 254 unités immatriculées, Citroën progresse de 13,9 % par rapport à février 2010 tandis que Peugeot enregistre une progression de 2,5 %, à 5 441 unités. Du côté des marques importées, Nissan enregistre une jolie croissance de 79,9 %, avec 824 immatriculations.

+ 11,1 % sur deux mois

Sur les deux premiers mois, 68 813 immatriculations ont été enregistrées, soit une progression de 11,1 % par rapport à la même période l’an passé. En 2007, 77 816 unités avaient été immatriculées au cumul des deux premiers mois. Citroën enregistre la plus forte variation (+ 14 %), avec 12 221 unités. Pas très loin derrière, Peugeot pointe en hausse de 5,4 %, à 11 511 immatriculations. Avec 23 074 unités, Renault réalise une progression de 15,8 % par rapport à la même période l’an passé. Depuis janvier, avec 1 649 unités, Nissan explose les compteurs (+ 75,2 %). Volkswagen se distingue par sa régularité avec une progression de 29,1 % sur le mois de février, identique à celle affichée sur deux mois (2 194 immat.). Parmi les principales marques du marché, seul Ford est en recul sur les deux premiers mois (- 9,8 %).

Enfin, déjà en forte progression en janvier, le marché français des véhicules industriels de plus de 5 tonnes remonte sérieusement la pente avec une hausse des immatriculations de 59,8 % en janvier, à 3 541 unités. Depuis janvier, 7 386 VI ont été immatriculés, soit une progression de 58,1 %.