Pascal Noisette, chef de projet développement réseau Skoda.
Pascal Noisette. Tous les trois ou quatre ans, nous analysons notre situation et réalisons de nouvelles projections pour savoir quelle est la taille idéale que le réseau doit atteindre pour réaliser nos objectifs commerciaux. Cette vision de 180 points à l'horizon 2014 correspond à notre ambition qui est de représenter 1,5 % du marché à cette échéance. Cela étant, nous avions jusque-là une vision à 170 points. La différence n'est pas si importante.
JA. Vous annoncez tout de même 45 Open points à combler d'ici 4 ans…
PN. Notre priorité est de compléter notre représentation sur les grandes agglomérations et de la doubler sur les villes importantes. A priori, nous réaliserons ce type d'opération avec les partenaires en place sur lesdites zones. Sur les autres territoires à combler, il n'y a rien d'établi. Pour le moment, nous n'avons personne en face. Et sur les 10 distributeurs que nous souhaitons recruter d'ici la fin de l'année, 5 sont bien avancés.
JA. La marque n'a-t-elle pas des difficultés à convaincre des investisseurs ? Certains évoquent parfois de standards un peu exigeants.
PN. Notre volonté est, pour chaque point, de trouver un partenaire qui ait la volonté de développer la marque, d'aller de l'avant. C'est-à-dire un véritable entrepreneur. Quant à nos standards, ils sont plus faibles et plus souples que ceux d'Audi et Volkswagen. Nous sommes pragmatiques et essayons toujours de partir de l'existant. Ce sont surtout des standards d'organisation et de services. Les dépenses pour entrer dans le réseau Skoda sont somme toute assez "light".
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