S'abonner
Constructeurs

La Mini Cooper SE première sur la valeur résiduelle

Publié le 11 mars 2020

Par Christophe Jaussaud
2 min de lecture
Autovista Group s'est penché sur la valeur résiduelle de la Mini Cooper SE et de trois de ses concurrentes. La petite anglaise électrique, après 36 mois, affiche la meilleure VR.
Après 36 mois, la Mini Cooper SE affiche une VR de 55 %.

 

La Mini électrique, baptisée Cooper SE, est sur le marché français depuis le 5 mars 2020. Mini France a déjà enregistré plus de 1 000 commandes avant même la commercialisation de ce modèle qui devrait représenter 20 % des ventes de Mini Hatch cette année (environ 2 000 unités).

 

"Elle suscite un intérêt assez fort, y compris chez des personnes qui ne connaissaient pas la marque, puisque le taux de conquête est de 70 % sur les commandes" explique Pierre Jalady, directeur de Mini Europe. C’est particulièrement vrai dans l’univers des entreprises, en allant des TPE aux grandes flottes. Ces dernières viennent à la marque grâce à la Mini électrique."

 

Et parmi les atouts de la Mini Cooper SE qui pourraient séduire les professionnels, il y a notamment l'exonération de TVS, l'amortissement des batteries mais aussi sa valeur résiduelle qui permet à la marque de proposer des loyers compétitifs. Ainsi, la Mini électrique dans sa finition business est proposée à 485 euros par mois pour les professionnels (à partir de 360 euros/mois pour les particuliers).

 

Un loyer qui s'explique en grande partie par la valeur résiduelle du modèle. Ainsi, selon Autovista Group, la Mini Cooper SE affichera après 36 mois/60 000 km une VR de 55 %. La DS3 Crossback e-Tense la talonne avec 54 %. La Honda e et la Peugeot e-208 seront, selon l'organisme, à 44 % après trois ans. L'avenir nous dira si Autovista avait vu juste.

 

Vous devez activer le javacript et la gestion des cookies pour bénéficier de toutes les fonctionnalités.
Partager :

Sur le même sujet

cross-circle