Bruno Le Maire : "Il faut un professionnel de l'automobile à la direction générale de Renault"
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Un professionnel de l'automobile, pas forcément français. Voilà, certes rapidement brossé, le portrait-robot du futur directeur général de Renault. Peut-être que depuis l'arrivée de Ben Smith à la tête d'Air France, le gouvernement français a compris qu'une entreprise, même si l'Etat en est actionnaire, méritait un dirigeant connaissant bien le secteur.
"Je vous confirme qu'il (le prochain directeur général) n'est pas encore choisi", a indiqué Bruno Le Maire lors de l'émission BFM Politique de BFM-Le Parisien. "La seule indication que je peux vous donner, c'est que je souhaite que ce soit un professionnel de l'automobile", a-t-il ajouté. "Parce que dans le mouvement de transformation radicale auquel est confrontée l'automobile - véhicules électriques, véhicules autonomes -, il faut des pros. Donc je souhaite que le prochain directeur général de Renault soit un pro."
Et heureusement pour Renault, les noms qui circulent actuellement pour remplacer Thierry Bolloré semblent aller dans ce sens. Selon Le Figaro, l'actuel patron de Seat, Luca de Meo, serait la cible privilégiée. Le nom de Didier Leroy, numéro 2 de Toyota, a également été évoqué mais ce dernier aurait refusé. Patrick Koller, l'actuel dirigeant de l'équipementier Faurecia (filiale de PSA), serait dans la liste, comme l'actuelle DG par intérim Clotilde Delbos qui aurait été reçue par le cabinet de chasseurs de tête selon Les Echos.
Ensuite, toujours selon le quotidien économique, d'autres noms auraient fuité mais le lien avec l'automobile n'est pas flagrant. Ainsi, Fabrice Brégier, ex-directeur général d'Airbus aujourd'hui patron de Palantir France, a été cité comme Thierry Le Hénaff, le patron actuel du chimiste Arkema.
Mais "il y a des procédures, il faut les respecter", a souligné le ministre de l'Economie. "Il y a aujourd'hui la recherche d'un directeur général. Ensuite, le président de Renault, Jean-Dominique Senard, à qui nous faisons une fois encore toute confiance, choisira (...). Et ensuite, l'Etat français comme actionnaire exprimera son avis" sur ce choix.
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