Alors qu'un comité social et économique se tenait dans l'enceinte de l'usine, les salariés ont arrêté la production et manifesté pour faire connaître leur position aux deux représentants de Daimler venus de Stuttgart.
Déployée depuis cinq ans dans le réseau VP, l’offre de location longue durée Mobifleet Leasing, élaborée par Mercedes-Benz Financial Services et Athlon, est à présent proposée par les distributeurs VUL de la marque à l’étoile.
Le groupe allemand, qui fabrique des Smart depuis 1998 en Moselle, vient d'annoncer son intention de vendre le site d'Hambach. Cette usine devait pourtant produire des modèles électriques de Mercedes. Mais la crise est passée par là.
En prenant une participation dans Farasis, un fabricant chinois de cellules déjà partenaire, Daimler sécurise encore un peu plus son approvisionnement. Une nécessité pour mener à bien l'électrification de ses gammes.
Daimler et BMW viennent d'annoncer la mise en sommeil de leur coopération sur la voiture autonome. Ils considèrent que l'environnement conjoncturel n'est pas favorable aux investissements en la matière.
Les professionnels peuvent passer commande de la déclinaison 100 % électrique du grand fourgon allemand depuis le 8 juin 2020. Les tarifs débutent à 55 240 euros HT.
Mercedes France n'a pas échappé à la crise. Son PDG, Reiner Hoeps, revient sur le travail réalisé et celui qu'il reste encore à fournir. Car personne ne peut encore imaginer le marché français dans les mois à venir. La réactivité sera l'une des clés de la réussite.
Pour soutenir la demande, Mercedes-Benz Vans France, appuyé par sa captive, lance une offre de financement proposant 6 mois de loyer gratuits, pour certains professionnels.
La division de la marque à l’étoile consacrée aux utilitaires légers a redémarré la production, de manière partielle, dans ses différentes usines européennes.
Le constructeur allemand s'attend à une perte d'exploitation pour le deuxième trimestre 2020 car il s'agira de la période où l'impact de la crise sanitaire sera le plus fort.
Le constructeur allemand a fait état d’une chute de 78 %, à 617 millions d’euros, de son bénéfice opérationnel au premier trimestre 2020. Toutes ses divisions sont touchées par la crise du coronavirus.
Les deux constructeurs de poids lourds se sont entendus pour créer une coentreprise afin de développer et diffuser des piles à combustible. Ils pensent pouvoir lancer des poids lourds et des bus équipés de cette technologie d'ici la fin de la décennie.
Le constructeur allemand va progressivement relancer, à partir du 20 avril 2020 en Allemagne, la production de pièces avant de redémarrer les sites d'assemblage.
La direction générale du constructeur et le groupement des distributeurs sont parvenus à un accord prévoyant l’ouverture de 110 sites après-vente sur un total de 208.
Le groupe allemand va interrompre, pour au moins deux semaines, sa production en Europe. Le coronavirus est naturellement en cause comme la baisse de la demande et des ruptures d'approvisionnement.
Le constructeur compte réduire ses émissions de CO2 de 20 % en Europe cette année. Cela passera notamment par des ventes de modèles électrifiés multipliées par quatre.
La division de la marque à l’étoile en charge des utilitaires légers est particulièrement active en France où ses résultats pour 2019 sont positifs. Le développement réseau, le business VO et une nouvelle offre de LLD sont au programme pour 2020.
Sans surprise, Daimler vient de dévoiler un bilan 2019 où se traduisent les difficultés rencontrées durant l'année. Bien que le chiffre d'affaires progresse de 3 %, le bénéfice net a baissé de 64 %, à 2,71 milliards d'euros, plombé par 5,5 milliards de provisions.
Le constructeur allemand a prévenu que son bilan 2019 serait bien en dessous des attentes. La conséquence des effets du Dieselgate, de nombreux rappels mais aussi de la course à l'électrique.