C-Ways a analysé les données du marché des voitures d'occasion. Il en résulte des pronostics de ventes pour 2025 que le cabinet d'études partage. Selon toute vraisemblance, la croissance ne sera pas à l'ordre du jour. 
La part croissante des véhicules électriques dans le parc roulant aura-t-elle un impact sur le marché de la réparation-collision ? Adas, gravité des chocs, coût des pièces… Les véritables conséquences sur le secteur ne pourront pas être visibles avant une dizaine d’années. 
Depuis février 2021, jamais les infomédiaires européens n'avaient cumulé autant d'offres de voitures d'occasion sur leurs plateformes, d'après l'agrégateur Leparking.fr. Ce qui n'est pas sans conséquence sur les prix. 
D'après le cabinet de conseil, les normes CAFE pourraient infliger des amendes astronomiques aux constructeurs automobiles : jusqu'à 50 milliards d'euros entre 2025 et 2029. Cette hypothèse d'AlixPartners pourrait être largement aggravée si les ventes de voitures électriques continuent à plafonner. 
L’édition 2024 de l’étude annuelle de l’Observatoire Cetelem se concentre sur l’appétence des moins de 30 ans pour l'automobile dans 14 pays. Pour 47 % d'entre eux, la voiture devrait avoir une place plus importante dans le futur. Un pourcentage en augmentation de 18 points par rapport à 2011. 
France Stratégie estime qu’il faudra 35,7 milliards d’euros pour décarboner les transports routiers jusqu’en 2030. Une somme conséquente revue à la hausse après la baisse de la demande de véhicules électriques ces derniers mois. Une précédente étude avait évalué le budget nécessaire à 27 milliards d'euros. 
Les analystes d'Autovista ne voient toujours pas remonter les valeurs résiduelles (VR) des véhicules d'occasion de trois ans. La demande des clients européens tarde en effet à repartir. La France est aussi exposée que ses voisins. 
Les Européens veulent des tarifs équivalents entre les voitures thermiques et électriques, autrement ils ne s'intéresseront pas à ces dernières, selon un rapport du cabinet Arthur D Little. L'étude dresse aussi le portrait des potentiels acheteurs de marques chinoises. 
D'après une étude conjointe de Sixt et de l'Ifop, les Français se sentent brusqués et fébriles à l'idée de se déplacer en véhicules électriques. Seul un quart d'entre eux songe à en acheter un et 59 % pensent qu'ils ne seront pas utiles pour réduire le bilan carbone du secteur automobile. 
D'après une étude conduite par TCG Conseil, la transformation du secteur automobile pourrait remettre l'aftermarket au cœur du marché. Mobilians plaide en faveur d'une prise de conscience des professionnels de l'après-vente pour une montée en compétence et saisir cette opportunité de marché. 
L’Arval Mobility Observatory a publié la 13e édition de son étude annuelle nommée TCO Scope, qui analyse les coûts de détention des véhicules d’entreprise. Si l’électrique conserve des avantages face au thermique, des défis subsistent, en particulier en ce qui concerne son coût à l’achat. 
L'édition 2024 de l'enquête menée par OpinionWay pour Aramisauto a rendu son verdict. Touchés par des difficultés financières, les Français font des arbitrages économiques. Ils sont désormais 75 % à envisager de se tourner vers les voitures d'occasion, dont les reconditionnées. 
Dans une forme de partenariat inédit, le cabinet de conseil a collaboré avec Leboncoin dans le but d'affiner l'analyse de la revente de voitures d'occasion par les groupes de distribution. C-Ways en a tiré quelques enseignements, parfois contre-intuitifs. 
D'après le baromètre mensuel édité par Leparking, les annonces de véhicules d'occasion restent un peu plus longtemps en ligne. Un ralentissement de la rotation en Europe, alors même que le volume d'offres s'est légèrement réduit. 
L’association Wimoov vient de publier la troisième édition de son baromètre des mobilités du quotidien et le bilan est alarmant. L’étude dénombre 15 millions de Français en situation de mobilité précaire, un chiffre en forte hausse. 
Selon une étude réalisée auprès de plus de 500 gestionnaires de flottes d’entreprises dans le monde, la France ferait déjà partie des meilleurs élèves en termes de transition vers l’électrique. Une flotte française sur cinq devrait ainsi être composée à 100 % de véhicules électriques d’ici à 2030. 
L'ONG Transport & Environment estime que "l'atonie" du marché des voitures électriques est "purement transitoire" et devrait reprendre sa forte croissance dès 2025. T&E vise une part des ventes de 20 à 24 % l'an prochain en Europe, soit le double du rythme enregistré depuis janvier 2024. 
La situation ne s'améliore pas encore chez les revendeurs de voitures d'occasion de moins de sept ans. Selon le baromètre d'Autobiz, les stocks se sont réduits en août 2024 pour se rapprocher des 424 000 unités. En dépit de cela, les points de vente ne retrouvent pas de rythme de rotation. 
Comme chaque année, YouGov, institut d’études britannique, publie son classement des constructeurs préférés des automobilistes français. Peugeot arrive premier suivi, comme à l'accoutumée, des marques allemandes. 
La valeur résiduelle des voitures d'occasion âgées de trois ans a encore baissé en août 2024, selon le rapport édité par Autovista. Cette tendance observée en France s'applique en réalité à l'Europe tout entière et particulièrement aux voitures électriques. 
Dans une étude, Mobilians a analysé la provenance des véhicules électriques immatriculés en France. Sur les 188 575 unités vendues depuis début 2024, plus des trois quarts ont été fabriquées en Europe. L’Allemagne reste en tête, loin devant l’Espagne et la Chine, tandis que la France conserve sa quatrième place. 
À travers l'analyse des annonces de voitures d'occasion diffusées dans cinq pays, le baromètre édité par Le Parking montre que le marché européen a retrouvé une densité de propositions inédite depuis le printemps 2021. Pourtant, les prix ne s'effondrent pas. 
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