A la suite du comité stratégique de la filière automobile, le gouvernement a annoncé le maintien, sur les six premiers mois de l'année 2021, des barèmes de bonus 2020 et de la prime à la conversion.
Le texte introduisant le malus au poids dans le projet de loi de finances 2021 vient d’être publié. Comme attendu, seront concernés, à partir de 2022, les véhicules de plus de 1 800 kg avec une pénalité de 10 euros par kilo supplémentaire. Des exonérations sont prévues.
Le gouvernement a déposé un amendement, dans le cadre de l’examen du PLF 2021, modifiant le barème du malus pour l’an prochain. Il fixe également le cap pour 2022 et 2023. Une décision liée à l’introduction à venir du malus au poids.
Un amendement instaurant le malus au poids pour les véhicules de plus de 1 800 kg va être déposé par le gouvernement dans le cadre de l'examen du PLF 2021.
Les organisations syndicales automobiles montent au créneau pour dénoncer le projet de malus selon le poids des véhicules que souhaite imposer le gouvernement. Un consensus historique dont nous publions en intégralité la tribune.
Comme pour les particuliers, le bonus alloué aux professionnels pour l’achat d’un véhicule électrique baissera de 1 000 euros en 2021. Il passera alors à 4 000 euros.
Les nouveaux barèmes du malus automobile ont été dévoilés pour les années 2021 et 2022. En plus des seuils de déclenchement abaissés, les plafonds explosent.
Le décret précisant les nouveaux bonus et conditions d'accès à la prime à la conversion est paru le 30 mai 2020 pour une mise en application dès ce lundi 1er juin. En voici les détails...
Alors que les mesures d'aides à la consommation automobile doivent être dévoilées vers le 25 mai 2020, le CNPA organise ses demandes et milite pour un plan qui concernerait l'ensemble du parc et pas uniquement les véhicules électrifiés qui ne pèsent que pour 5 %.
Si le président de la PFA salue les mesures d'aides prises jusqu'ici, il demande désormais d'accompagner la sortie de crise avec un plan de relance qui pourrait, entre autres, s'appuyer sur le retour du bonus de 6 000 euros accordé aux pros pour l'achat d'un véhicule électrique.
Pour le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, le secteur automobile aura bien besoin, après cette crise, d’une stimulation de la demande. Mais pas pour n’importe quels véhicules.
Les personnes physiques et morales ayant commandé un véhicule électrique fin 2019 devaient être livrées avant le 31 mars 2020 pour bénéficier du bonus de 6 000 euros. L’administration vient d'annoncer un report au 15 juin 2020.
Le suspens qui planait sur la date d’application du malus basé sur le cycle WLTP a pris fin. A J-2, le gouvernement a confirmé par décret l’application de cette grille qui relève le niveau de déclenchement du malus à 138 g/km.
Une étude réalisée par YouGov pour Identicar a révélé que les Français peinent à comprendre les contours de la nouvelle réglementation en matière de bonus-malus écologique. Un manque d'information et d'intérêt sont mis en avant.
Alors que l’activité des distributeurs automobiles indépendants se voyait menacée d'extinction par une lourde taxation des véhicules importés, professionnels et FNA ont obtenu du gouvernement des garanties plus avantageuses.
Les VN commercialisés en France, importés de pays européens sans système de certificat électronique (e-CoC), pourraient bien écoper d'un malus salé à partir du 1er mars 2020. De quoi donner des sueurs froides aux distributeurs indépendants.
Les annonces en matière de fiscalité automobile ont été nombreuses ces derniers jours. De quoi faire réagir les acteurs de l’automobile et plus particulièrement les distributeurs, en première ligne.
Le montant du bonus écologique pour l'achat d'un véhicule électrique, actuellement fixé à 6 000 euros, sera revu à la baisse en 2021 et 2022 pour les particuliers, et dès 2020 pour les professionnels.
Dans un courrier envoyé au Premier ministre, les acteurs du secteur des flottes s’inquiètent de la volonté de l’exécutif de réduire le montant du bonus accordé aux professionnels lors de l’achat d’un véhicule électrique. Une décision prématurée selon eux.
Le directeur du commerce France de Renault regrette le manque de visibilité sur les discussions fiscales durant les débats sur le projet de loi de finances. Avec une conséquence évidente : des immatriculations par anticipation.