SpiderVO renforce le lien avec Autobiz
Le modèle économique se devait d’évoluer pour accroitre la compétitivié. Weeflow et Autobiz ont signé un nouveau contrat visant à modifier les termes de leur accord commercial. Il en résulte que la solution de cotation fournie par Autobiz sera intégrée directement dans le logiciel de gestion commerciale, Spider VO.
Une évolution qui répond à la demande des quelque 800 utilisateurs de Spder VO, rapporte Jimmy Cohen, le PDG de Weeflow. Et pour cause, depuis deux ans que l’offre de cotation par Autobiz existe dans Spider VO, les distributeurs équipés du logiciel DMS devaient payer un euro par requête. Désormais, cette prestation sera forfaitisée.
« Certains de nos clients dépensaient jusqu’à 1 000 euros par mois, avec l’ancien système, ils s’acquitteront maintenant de 200 euros. Le bénéfice est donc évident », se félicite Jimmy Cohen. En effet, le changement de modèle économique aura pour conséquence d’augmenter le montant de l’abonnement mensuel de 50 à 200 euros en fonction des formules. Dès janvier 2020, 80 % du parc aura migré selon ses prévisions.
Agence digitale à ouvrir
A la mi-janvier, une autre nouveauté fera l’actualité du côté de Weeflow. L’entreprise doit officialiser le démarrage de son agence digitale. Celle-ci entend apporter des compétences aux eneignes de distribution de VO dans les domaines de la création personnalisée de sites internet, la conception de supports publicitaires, la réalisation de campagnes marketing ou encore la production de contenus éditoriaux.
Dans un autre secteur, Jimmy Cohen envisage une accélération. En effet, peu ou prou connaissent l’offre Weeflow Datacenter. Il s’agit d’un service d’hébergement et de classification des informations contenus dans les systèmes d’information afin de les exploiter dans un but de marketing ciblé. « Nous devrions recruter un chef de projet pour en assurer le développement, glisse le PDG de Weeflow. La vérité est que nous étions concentrés sur le succès de Spider VO ». En cette fin d’année, il dit convaincre 1 à 2 clients par jour en moyenne. Une cadence qu’il fallait assumer.