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Révolution ROK

Publié le 23 novembre 2010

Par Gredy Raffin
2 min de lecture
Un DMS pour les fédérer tous. Voilà ce que propose en substance la société ROK avec son outil éponyme. Présentée lors du Mondial de l’Automobile, la solution entend offrir une interface riche capable de consolider les affaires d’un groupe en dépit des exigences diverses.
Le bureau virtuel, ROK, gère les compétences en fonction de l’organigramme. L’interface a pris le parti de supprimer les traditionnelles barres des tâches.

Les gestionnaires informatiques ne s’arracheront plus les cheveux ! Surtout ceux des groupes multimarques. A l’occasion du Mondial de l’Automobile, les équipes du groupe Neubauer ont présenté sur le stand Rolls Royce le nouvel outil appelé à chapeauter l’ensemble de leurs systèmes d’information. Un produit développé par la société ROK, une émanation du groupe antillais, Loret.

Pour être concrets, poursuivons l’exemple de Neubauer : Fort d’un portefeuille de 20 marques, les dirigeants et le personnel du groupe avaient affaire à presque autant d’interfaces. Ingérable au quotidien, notamment quand on veut créer des synergies. C’est là qu’intervient ROK - c’est aussi le nom du produit - en devenant l’interface unique, qui fait fi des DMS, relégués en arrière-plan, qu’ils soient de Sage, d’ADP, de Fiducial ou autres. Une prouesse technique, puisqu’il faut être capable de traduire tous ces langages pour n’en restituer qu’un, que ROK peut attribuer à l’applicatif Bistalk, de Microsoft, créé pour gérer tous les SI du marché.

Dekra en coulisse

“Nous avons conçu un outil de gestion de partage des connaissances, présente Olivier Bourrouilh, président de ROK, dans lequel il est possible de définir des process de travail et de transmettre l’information au collaborateur concerné. Derrière l’interface simplifiée, il y a de vrais moteurs de workflow et des outils d’analyse de l’activité”. Mis au point avec Dekra, qui va en équiper tous ses bureaux, ROK peut aller jusqu’à réaliser des audits internes pour déterminer les axes de progression.

A environ 5 000 euros par mois, une licence couvre 300 utilisateurs. Facile à prendre en main, une seule demi-journée de formation est suffisante selon le créateur (1 000 euros pour 6 à 8 personnes). C’est un coût. En revanche, “il y a un gain de temps, de fiabilité et de sécurité, avance Olivier Bourrouilh. Nous sommes dans un rapport de 1 à 10 en termes d’amélioration de la productivité, à en croire notre expérience.”

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