Renault Retail Group soutient de nouveau l’Adie
Renault Retail Group a de nouveau fait preuve de générosité à l’égard de l’Adie. En effet, la filiale de la marque au losange a remis un chèque d’un montant de 30 000 euros à l’association qui vient en aide aux personnes exclues du marché du travail et du système bancaire classique et dont la vocation est de leur permettre de créer leur propre entreprise via du micro-crédit. Ce montant qui lui a été remis représente 20 % du montant maximum qui peut être distribué chaque année par le Fonds d’Aide Sociale et Humanitaire de Renault Retail Group (RRG). Particularité de ce fonds : il est co-alimenté par l'entreprise mais aussi par les salariés via un prélèvement sur l’intéressement. “Il est de 2 %”, précise Jean-Marie Collin, le responsable des relations sociales de RRG et “pilote” de ce fonds.
L’accord triennal encadrant ce fonds n’a en outre jamais été remis en cause depuis son entrée en vigueur courant 2003. “Il sera de nouveau reconduit cette année”, assure Jean-Marie Collin. Mieux. Son plafond annuel de 150 000 euros sera atteint en 2011. RRG s’attachera donc plus que jamais à diversifier ses dossiers et montants de dotation, même si trois organismes ou associations sont régulièrement soutenus (Planète Urgence, Aide et Action, Adie).
15 à 20 dossiers par an
“Nous sélectionnons chaque année de 15 à 20 dossiers et le montant moyen de nos dotations oscille entre 4 000 et 5 000 euros”, souligne Jean-Marie Collin. Les sommes récoltées peuvent toutefois venir en aide - si nécessaire - à un salarié de RRG. “Notre fonds est utilisé pour des associations ou des organismes humanitaire à au moins 80 %”, poursuit le responsable des relations sociales de RRG.
Quel usage sera fait de la dotation récoltée par l’Adie en ce début 2011 ? Elle permettra d’accompagner au mieux les créateurs d’entreprises dans la mesure où dix d’entre eux bénéficieront chacun d’une prime de 1 500 euros en plus d’un financement complémentaire du même montant. Une chose est sûre, RRG connaît bien l’Adie : la filiale de Renault l’avait déjà soutenue il y a deux ans dans le cadre de son programme CréaJeunes (20 000 euros).“Nous aimerions que toute la profession prennent le même genre d’initiatives que nous avec leurs salariés”, conclut Jean-Marie Collin. Plus de personnes pourraient réintégrer le marché du travail et plus d’entreprises pourraient voir le jour.
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