Navya arrive en Bourse mais lève moins que prévu
Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:"Tableau Normal";
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:"";
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:8.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:107%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
Annoncée il y a plusieurs semaines, l'entrée en Bourse de Navya est désormais effective. La start-up tricolore est arrivée ce mardi matin sur la place Euronext Paris. Le prix d'émission a été fixé à 7 euros par action, selon un communiqué de la société diffusé lundi, soit un prix plus bas que la fourchette (entre 9 et 12 euros par action) initialement prévue par la société, qui avait dit le 12 juillet avoir pour objectif de lever 51,3 millions d'euros lors de cette opération.
"L'offre révisée a été accueillie favorablement par les actionnaires français et les investisseurs institutionnels étrangers", a affirmé le fabricant de voitures autonomes. Les premiers échanges sur les actions Navya ont débuté ce mardi matin à la Bourse de Paris "sous la forme de promesses d'actions". "Cette opération nous permet de conserver notre leadership technologique, de développer notre organisation et d'investir dans des marchés connexes", a affirmé Christophe Sapet, le président du directoire de Navya cité dans le communiqué.
Une capitalisation estimée à 190 millions d'euros
L'introduction en Bourse permettra de "développer nos solides bases actuelles pour devenir un leader mondial des véhicules autonomes", a ajouté le dirigeant. La capitalisation boursière de la société atteint 190 millions d'euros sur la base du prix d'introduction en Bourse.
Considérée comme une pépite française des nouvelles technologies, l'entreprise basée à Villeurbanne, près de Lyon, a été la première au monde en 2015 à commercialiser des navettes autonomes, des véhicules électriques limités réglementairement à une circulation dans des zones privées, comme des campus universitaires, des aéroports ou de grandes entreprises. Navya revendique déjà 67 navettes vendues dans 16 pays à la fin du premier trimestre 2018. (AFP)
Sur le même sujet
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.