L'EIGSI évalue la mobilité urbaine
L'aventure Citymobil se poursuit pour les élèves de l'EIGSI. Dans le cadre de la première phase de ce projet européen visant à améliorer la mobilité urbaine électrique, les futurs ingénieurs de l'école rochelaise avait contribué à mettre au point techniquement des minibus sans chauffeur, mais aussi à modéliser le trajet test. Un travail concrétisé début février, période à laquelle a débuté la seconde phase de ce projet marqué par le déploiement des véhicules.
Au nombre de six, ces derniers ont investi la "ville blanche" et relient quotidiennement la gare de La Rochelle à son université. Un trajet, mais aussi une intégration que les enseignants et étudiants de l'EIGSI vont scruter de près jusqu'en avril. Ces derniers vont ainsi "répertorier les problèmes techniques, proposer des solutions d'amélioration et mesurer l'impact de ce nouveau mode de transport" sur la population et le trafic, comme détaillé dans un communiqué.
Parallèlement, les membres de l'école iront à la rencontre du jeune public local dans les prochaines semaines en intervenant dans les écoles primaires pour sensibiliser les élèves aux enjeux de la mobilité future.
En marge du projet Citymobil, l'EIGSI participe également au projet VELUD, financé par l'Ademe, qui vise à trouver de nouvelles solutions pour réduire les impacts des livraisons sur la qualité de l'air des villes. Ainsi, à Paris, l'école d'ingénieurs expérimente avec Renault la livraison du dernier kilomètre grâce à un Twizy Delivery Concept. Un modèle électrique urbain et modulable répondant aux problématiques du transport de marchandises en ville.
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