Informatique en concession : Datafirst lance une révolution

Le 28 novembre dernier, les yeux étaient éblouis lorsque le président-fondateur de Datafirst, Arié Toledano, a dévoilé DataCar, la prochaine génération d'outils proposés par l'éditeur lyonnais. Les représentants des constructeurs, les dirigeants de groupes de distribution et les distributeurs partenaires de Datafirst présents lors de l'événement ont pu découvrir des innovations qui entendent révolutionner l'expérience que l'on peut avoir des systèmes d'information.

"DataCar est le nom générique pour une nouvelle génération de logiciels", a défini Rémi Clémendot, le directeur ventes et marketing de Datafirst. Plus concrètement, les nouveautés sont donc en réalité DataCar Portal et DataCar Mining, deux produits distincts qui nourrissent la même ambition : simplifier l'utilisation. Le premier étant un portail d'accès en ligne qui réunit toutes les fonctions utilies sous la forme d'une  interface claire. Le second étant un logiciel avancé d'agrégation et d'analyse de données en gros volume.

Outil prédictif de grande précision

"Le contexte de complexité grandissante dans les systèmes d'information, l'augmentation des sources et la nécessité de redistribuer les éléments sur des outils modernes pour les professionnels ont dicté la conduite de notre projet", a affirmé Arié Toledano. Au travers de DataCar Mining, ce sont donc plusieurs centaines d'indicateurs clés qui peuvent être suivis. Mais le logiciel a épaté son monde en étant capable de prévenir des risques. C'est-à-dire que l'outil peut détecter les postes de la concession qui tiennent encore leurs objectifs, mais qui pourraient passer dans le rouge si aucune mesure corrective n'était prise.

Venant en complément de la gamme actuelle, dont eCars21 et V12 Web, DataCar Portal et DataCar Mining sont exploitables sur tous les systèmes d'exploitation majeurs (Windows, Apple, Google). Ils seront pilotés cet hiver dans deux groupes multimarques de distribution, avant d'être commercialisés au cours du premier trimestre 2013. Les prix ne sont pas encore arrêtés, mais il s'agit d'un "léger surcoût" par rapport aux abonnements actuellement proposés, a fait savoir Remi Clémendot.