Marché européen du VUL : la France tire son épingle du jeu
Sur le même modèle que le marché européen du véhicule particulier, celui des véhicules utilitaires légers a connu un mois de mars assez chahuté, mais un premier trimestre finalement plutôt satisfaisant. En mars, selon l'Acea, ce sont 220 835 VUL qui ont trouvé preneur sur le Vieux Continent, soit une baisse de 2,2 %. La demande pour ces véhicules a reculé dans tous les marchés majeurs, à l’exception de la France avec une croissance de 8,2 %, soit un peu plus de 48 000 unités écoulées.
L’Allemagne et le Royaume-Uni ont en revanche subi une baisse marquée, respectivement de 6,7 et 5,6 %, soit 25 109 et 59 764 VUL vendus, tandis que l’Italie a vu ses commercialisations reculer de 4,7 %, à 16 500 unités. L’Espagne n’a pas fait mieux avec un retrait de 2,1 %, à 19 141 unités.
Un premier trimestre positif
Résultat, après deux premiers mois de l’année dynamique – +7,8 % en janvier et +6 % en février – et malgré un mois de mars atone, les ventes de VUL sont finalement restées sur une bonne tendance sur le premier trimestre. 622 439 unités ont été commercialisées, soit +2,8 %, avec une demande positive pour quatre des cinq plus importants marchés, dont l’Espagne (+9,3 % avec 52 522 unités), la France (+6 % avec 116 428 unités), l’Italie (+4,1 % avec 44 750 exemplaires et enfin l’Allemagne (+2,3 % avec 64 649 unités).
Seul le Royaume-Uni a une nouvelle fois accusé le coup avec un recul de 3,7 % sur les trois premiers mois de l’année, soit un peu plus de 94 300 unités.
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