Questions à Sébastien Berchon

JOURNAL DE L’AUTOMOBILE. Vous n’avez que 44 ans et vous terminez déjà votre 16e bilan à la tête de Toyota Melun. Vous dites même que vous avez la marque dans votre ADN. Alors, tout simplement, comment analysez-vous toutes ces années parcourues ?
SEBASTIEN BERCHON. Que du bonheur ! Toyota m’a en effet tendu la main voilà de cela seize ans et si j’en suis là maintenant, c’est aussi grâce à la marque car elle m’a laissé me développer et je suis très fier de la représenter.

JA. L’occasion de vous demander quelles sont vos convictions sur l’environnement et en particulier sur la technologie hybride, très présente au sein de la gamme Toyota…
SB. Je suis convaincu du bien-fondé de la technologie hybride aujourd’hui, laquelle représente d’ailleurs actuellement 45 % de nos ventes, et je pense sincèrement que nous n’en sommes qu’au début. En outre, cette technologie permet à la marque de pouvoir compter sur des motorisations autant économiques qu’écologiques, ce qui est de nos jours très prisé par les clients. C’est un vrai plus pour nous, distributeur.

JA. Lors de l’élection, la rédaction du Journal de l’Automobile avait été stupéfaite de vos bons résultats en termes de satisfaction vente et après-vente. Existe-t-il une méthode Berchon ?
SB. Pas vraiment, nous faisons en sorte de satisfaire tous nos clients à tous les niveaux et, pour y arriver, c’est aussi un état d’esprit qui doit être inculqué à tous nos collaborateurs. C’est un travail quotidien.

JA. Quels sont vos projets à très court terme ?
SB. Je profite de la présence de la marque Toyota ce soir pour leur dire que je suis prêt et enthousiaste à l’idée de me développer avec la marque. Je représente aussi depuis deux ans la marque Hyundai, avec laquelle je formule le même désir de développement.