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Distribution

Le top 10 des distributeurs Nissan en France

Publié le 31 août 2020

Par Alice Thuot
2 min de lecture
2019 a été le théâtre de nombreux mouvements au sein du réseau Nissan. En conséquence, le top 10 des plus importants opérateurs de la marque japonaise a été marqué par de nombreuses évolutions.
Le groupe Maurin est resté le leader incontesté dans la distribution de Nissan en France.
 
 
L'année 2019 a été plus que laborieuse pour Nissan et ses partenaires. En France, le construccteur japonais a connu un repli de 29 % de ses immatriculations. C’est dans ce contexte que l’évolution du classement des 10 plus importants investisseurs Nissan a été plutôt mouvementée. Toutefois, la première marche du podium est restée entre les mains du même groupe, Maurin avec 4 200 unités contre 5 800 en 2018, selon les données fournies par le constructeur. 
 
 
Mais dès la deuxième position, des changements ont été constatés. Fort de multiples opérations de croissance externe, le groupe Eden Auto est rapidement monté en puissance dans le réseau Nissan avec 3 100 exemplaires, détrônant au passage l’ex-deuxième plus important partenaire, le groupe Neubauer, et ses 2 600 VP écoulés (3 700 en 2018) mais aussi le groupe Gueudet (2 550 unités, 3 100 en 2018). 
 
 
Le groupe Altaïr monte en puissance 
 
 
Le groupe Emil Frey France partage ce classement, à la 5e position, tout comme l’année précédente grâce à ses 2 450 unités, une belle performance, puisque il s’agit d'un volume presque égal à celui affiché en 2018.
 
 
Le groupe Peyrot est passé de la 4e à la 6e place (2 350 unités, 2 700 en 2018), et est suivi par le groupe Altaïr, qui, pour rappel, s’est aussi très rapidement imposé dans le top 10 Renault entre 2018 et 2019 grâce à sa stratégie de croissance externe. Le groupe Bernard s’est octroyé la 7e place (1 800 unités), suivi de Hess, relégué de la 6e à la 9e place avec 1 700 unités. Jean Rouyer ferme la marche avec 1 650 VP écoulés.

En 2019, le réseau français Nissan comptait 205 sites primaires répartis entre 53 investisseurs. Entre 2018 et 2019, la rentabilité moyenne du réseau a chuté de 0,8 à 0,2 %, pour un chiffre d'affaires moyen de 12 800 euros (14 318 en 2018).

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