Le groupe Lamirault inaugure en présence de Carlos Tavares

C’est à Chartres qu’Olivier Lamirault vient de parachever sa politique de développement avec la marque Citroën. Après le rachat de la concession de Dreux (28) en 2008 puis celui de la succursale de la marque début 2013 à Evreux (28), le groupe se devait de relancer le site de Chartres Lhermite Automobiles et de lui redonner des couleurs.

C’est désormais chose faite avec la relocalisation de la concession sur un nouveau pôle automobile où le nouveau Terminal Audi, propriété du groupe Lamirault et Concession de l’Année du JA en 2013, l’a d’ailleurs rejoint, imité par la concession Renault également du groupe, d’ici quelques mois.

Flambant neuf, le site reprend toute la nouvelle signalétique de la marque et s’étend sur plus de 4700 m² pour un investissement "d’environ 1000€ le m², qui sera rentabilisé d’ici cinq ans", signale Olivier Lamirault. La concession chartraine devient ainsi le porte-drapeau de la marque au sein du groupe avec un potentiel de ventes de 1100 VN Citroën (+15% par rapport à l’ancien site), 150 DS neuves et 500 VOP pour un CA évalué à 40 millions d’euros.

Son ouverture officielle marque aussi le développement de la marque Citroën au sein du groupe Lamirault, laquelle avec 2700 VN écoulés par an devient la plus importante distribuée par l’opérateur devant Renault (1589 VN), Toyota ( 1487 VN), VW (795 VN), Nissan (507 VN), Dacia (438 VN), Audi (362 VN), Skoda (1182 VN) et Suzuki (129 VN).

Devant l’importance du site au sein du dispositif du groupe, celui-ci avait donc décidé de célébrer en grande pompe son inauguration officielle. Au-delà des 1400 invités, ce sont aussi Carlos Tavares, président de PSA Peugeot Citroën, et Philippe Narbeburu, directeur commercial de Citroën France, qui s’étaient déplacés pour saluer le nouveau site d’Olivier Lamirault.

Carlos Tavares a tenu à rappeler qu’"il s’était fixé comme devoir de passer 30% de son temps sur le terrain pour rencontrer les hommes qui composent les réseaux des deux marques", rappelant aussi que, pour évaluer la bonne marche d’un réseau, trois paramètres étaient à prendre en compte. "La qualité d’installation, l’opérateur en place et la pertinence du lieu, trois paramètres que l’on retrouve ici à Chartres", a-t-il souligné.