Au terme du premier semestre 2022, les professionnels de la seconde main reviennent à une pénétration de 35,9 % des immatriculations selon AAA Data. Face à une activité en nette perte de vitesse, les points de vente font de la résistance.
Avec 1 237 975 immatriculations enregistrées au premier semestre 2022, le marché allemand affiche une baisse de 11 %. Aux problèmes d'approvisionnement touchant l'industrie automobile s'ajoutent maintenant une crise de confiance sur fond d'inflation et une crise du gaz.
Le marché des flottes accuse un repli de 17,5 % au premier semestre 2022, avec un cumul de 359 657 immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers. Un triste bilan timidement amélioré en juin par un retour à un bon niveau de mises à la route de VP.
La marque au lion poursuit sa course en tête sur le marché tricolore. Talonnée par Renault, Peugeot utilise désormais les mêmes recettes : des commandes libres de stock et des séries spéciales plus simples à produire pour livrer plus vite.
Les chiffres sont éloquents pour la direction du commerce France de Renault : une part de marché de 21,3 % en juin 2022, voire plus sur le seul canal des particuliers. Les planètes semblent s'aligner, y compris pour le réseau dont la rentabilité est en forte croissance. La confiance est de retour !
Pour la septième fois de rang, le marché des véhicules d'occasion perd du terrain. En juin 2022, AAA Data rapporte une chute de 17,9 %, à 453 583 transactions. A l'issue du premier semestre, les remises à la route accusent un repli de 12,4 %.
En juin 2022, pour le treizième mois consécutif, les immatriculations de voitures neuves ont encore reculé. Le repli est de 14,2 %, à 171 083 unités. Cette baisse mensuelle confirme la dégringolade enregistrée depuis le début de l'année ; le marché se contracte en effet de 16,3 %, à 771 379 véhicules, soit 394 464 de moins par rapport à 2019.
D'après les données de l'ACEA, publiées le 16 juin 2022, les immatriculations de véhicules neufs ont plongé de 11,2 % en mai 2022, à 791 542 unités. Il s'agit de la pire performance à cette période depuis le début des relevés en 1990.
Après un mois d'avril 2022 catastrophique, le marché chinois a retrouvé un dynamisme relatif en mai, synonyme d'une chute de seulement 17 %. Dans ce contexte, les véhicules électrifiés ont représenté plus de 30 % des ventes.
Avec seulement 24 268 immatriculations en mai 2022, en chute de 83,5 %, le marché russe est quasiment réduit à néant. Depuis le début de l'année, il a déjà perdu près de la moitié de son volume.
Avec seulement 207 199 unités, le marché allemand a baissé de 10,2 % en mai 2022. Depuis le début de l’exercice, les immatriculations sont en repli de 9,3 %, mais surtout de 33 % par rapport à 2019.
En mai 2022, les immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers en entreprises ont fléchi de 15,8 %, à 55 328 unités. Une contre-performance dans la lignée d’un début d’année compliqué.
Toujours en proie aux mêmes difficultés, le segment des véhicules d’occasion s’est contracté de 4,5 % en mai 2022, à 450 560 transactions. Au cumul de l’année en cours, le repli est de 11,2 %.
Avec 20 741 immatriculations sur le mois de mai 2022, la marque Peugeot obtient une part de marché de 16,4 %, en France. Pour améliorer ses ventes aux particuliers, Christophe Prévost, directeur du commerce, a travaillé avec le réseau pour améliorer les stocks de véhicules prêts à partir.
Si la baisse est moins catastrophique que celle du mois d'avril, le marché automobile reste toujours profondément ancré dans le rouge en mai 2022. Avec 126 810 immatriculations, il enregistre une chute de 10,1 % et n'arrive pas à remonter la pente. Depuis le début de l'année, il dévisse de 16,9 %. Par rapport à 2019, il manque près de 335 000 immatriculations.
Seulement 684 000 véhicules neufs ont été immatriculés sur le sol européen en avril 2022. Un volume historiquement faible pour cette période de l’année, en chute de 20,6 %. Depuis janvier, le repli atteint déjà 14,4 %.
Si le marché automobile voit les immatriculations dégringoler depuis le début de l'année avec une baisse historique de 18,6 %, les modèles électriques ont progressé de 40,3 % pour atteindre une part de 11,9 %. En tête des marques les plus électriques : MG, Fiat et Kia.
Alors que le marché européen est en fort recul, les modèles électrifiés continuent de gagner du terrain. Les seuls véhicules électriques ont progressé de 53,4 % durant le premier trimestre 2022.
Les canaux BtoB ont dévissé de 26 % au cours du mois d’avril, tombant à 52 419 immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers. Depuis janvier, le manque à gagner s’élève à 20 % par rapport à 2021.
Avec un repli de 21,5 % des immatriculations en avril 2022, le marché allemand a seulement totalisé 180 264 unités. Depuis le début de l'exercice, il recule de 9 %, à 806 218 unités. La production locale est aussi en berne.
Créditée de 46 665 transactions en avril 2022, un chiffre en repli de 17,8 %, la marque Citroën n'échappe pas aux difficultés sur le marché du véhicule d'occasion. Sur un an glissant, les immatriculations s'affaissent de 8,2 %, à 624 750 unités. Décryptage des principales statistiques.
Malgré une baisse des volumes, les revendeurs de véhicules d'occasion parviennent toutefois à retrouver du poids sur le marché français. Avec un cumul de 654 577 unités depuis le début de l'année 2022, ils sont à l'origine de 35,8 % des affaires.
Les difficultés de livraison s'accumulent pour Peugeot, dont le portefeuille de commandes est constitué à 40 % de versions haut de gamme et de véhicules électrifiés. Le pilotage est donc serré avec, en avril 2022, la volonté affichée de protéger la nouvelle 308.
Le deuxième trimestre 2022 s'ouvre par une nouvelle baisse des ventes de véhicules d'occasion. Selon les chiffres de AAA Data, le rythme a ralenti de 16,9 % sur un an, pour totaliser 434 730 remises à la route.
Les constructeurs annoncent des carnets de commandes pleins, mais les immatriculations poursuivent leur chute. Durant le mois d'avril 2022, le marché a dévissé de 22,6 % pour atteindre 108 723 immatriculations. C’est 31 703 unités de moins qu’en 2021 à la même période et 79 474 de moins par rapport à 2019.
La tendance au recul du marché de l'occasion touche toutes les régions françaises sans exception, selon les données trimestrielles fournies par AAA Data. Pourtant, l'offre en croissance et la déflation des prix, rapportées par Le Parking, donnaient matière à rebondir.
En enregistrant une baisse des ventes de véhicules neufs de 20,5 % en mars 2022, le marché automobile européen est encore victime des pénuries, aggravées par l’invasion de l'Ukraine. À quelques exceptions près, tous les pays connaissent une baisse à deux chiffres des immatriculations.
Les immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers en entreprises ont chuté de 24,6 % en mars 2022, tombant à 64 315 unités. Au premier trimestre, le déficit est de 18,1 %.
Comme attendu, le marché russe s’est écroulé au mois de mars 2022 avec un plongeon de 62,9 % des immatriculations. La chute est de 28,4 % sur le premier trimestre.
Les immatriculations de véhicules d'occasion à particulier ont enregistré une contraction de 14,3 % à 506 222 unités, le mois dernier, selon les chiffres de AAA Data. Une tendance qui touche toutes les grandes marques.
Avec une baisse de 17,5 % en mars 2022, le marché allemand connaît un coup d'arrêt après un bon début d'année. Le ralentissement est de 4,6 % depuis janvier et les prévisions de production ont été revues à la baisse.
Malgré les difficultés de livraison, Peugeot tient la tête du marché. Selon Christophe Prévost, les carnets de commandes restent bien remplis et sont composés désormais pour 22% de véhicules électrifiés. Explications avec le directeur du commerce France de la marque.
147 079 immatriculations. Un nombre qui en dit long sur l'état du marché automobile français en mars 2022. Celui-ci a en effet chuté de 19,5 % par rapport à mars 2021. Il s'agit surtout du plus mauvais mois depuis... 1980 ! Au premier trimestre 2022, les ventes ont reculé de 17,3 % et même de 34 % si l'on se compare à 2019 !
Avec un nouveau repli des immatriculations de 5,8 %, à 70 359 unités en février 2022, le marché des véhicules utilitaires d'occasion ne sort toujours pas la tête de l'eau. Depuis le début de l'année, le volume de transactions a fondu de 6,5 % par rapport à 2021.
Les immatriculations de voitures neuves en Europe ont enregistré un niveau historiquement bas durant le mois de février 2022. Plus de 200 000 voitures manquent à l'appel par rapport aux années avant crise Covid.
Parmi les marques les plus en vue sur le marché français des véhicules d'occasion, aucune n'a égalé la progression de Toyota au cours des 12 derniers mois. Un alignement des planètes a propulsé la gamme japonaise vers le sommet. Décryptage.
Quand bien même leur volume de vente a régressé de 6,2 %, à 161 892 véhicules d'occasion immatriculés, les professionnels ont repris des parts dans le mix global en février 2022. Selon AAA Data, ils ont représenté 36,1 % du total mensuel.
Grâce à un effet de comparaison favorable, le marché britannique affiche une croissance de 15 % en février 2022. Les ventes de modèles électriques s'envolent avec une part de 17,7 % le mois dernier.
Les immatriculations chinoises ont progressé de 4,2 % en février 2022. Les véhicules électrifiés ont soutenu le premier marché du monde avec une croissance de 180 %.