Premier trimestre atone pour Renault
Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:"Tableau Normal";
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:"";
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:8.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:107%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}
Sur un marché mondial en progression de 2,7 %, les ventes de véhicules légers du groupe Renault ont enregistré une progression de 4,8 % sur le premier trimestre, pour une part de marché en légère hausse, de 0,1 % à 4,0 %. Le groupe français a progressé sur presque chacune des régions dans lesquelles il opère. 47 % des ventes ont été réalisées sur le Vieux Continent avec 492 470 unités, soit une hausse de 2,8 %, grâce aux bons résultats des Koleos et Duster. La France a compté pour 36 % de ce volume avec 177 689 VL (+3,1 %). Résultats positifs également en Eurasie, avec des volumes en forte hausse de 22,1 %, à 165 773 exemplaires, mais aussi en Amérique du Nord et Sud avec la barre des 100 000 VL franchie (103 477), soit une augmentation de 21,3 %.
Les résultats ont été en revanche plus mitigés sur la région AMI avec un recul de 5,3 % et 120 512 unités, ainsi qu’en Asie-Pacifique avec des ventes en chute de 18,6 %, à un peu moins de 53 000 unités. Toutes les marques, sauf Renault Samsung Motors, ont progressé sur le premier trimestre, à commencer par Lada avec 86 090 unités et une hausse de plus de 31 %. Renault et Dacia ont enregistré des records avec des volumes respectifs de 648 531 et 171 577 VL vendus, soit des progressions de 2,3 et 13,8 %.
Les effets négatifs de taux de change pénalisent le chiffre d’affaires
Malgré ces résultats satisfaisants, le chiffre d’affaires du groupe a atteint un peu plus de 13 milliards d’euros, soit une relative stabilité par rapport à la même période de l’année précédente (+0,2 %). Dans le détail, le chiffre d’affaires de la branche automobile hors AvtoVaz s’est établi à 11,6 milliards d’euros, en repli de 2,5 %, tandis que le revenu généré par AvtoVaz a atteint 716 millions d’euros (+25,8 %), et que RCI Banque a réalisé un chiffre d’affaires de près de 800 millions d’euros, soit +27,7 %. Le nombre de contrats de financement s'est accru de 4,7 % tandis que l’actif productif moyen a progressé de 13,2 %, à 42,9 milliards d’euros.
Ces résultats mitigés sont expliqués par les effets de taux de change négatifs via la forte dévaluation du peso argentin, du real brésilien, de la livre turque et du dollar américain. A taux de change et à périmètre constants, le chiffre d’affaires du groupe a progressé de 5,4 %. Le chiffre d’affaires hors AvtoVaz a aussi subi ces effets : alors que l’effet volume est positif (+2,3 points), celui d’AvtoVaz a été impacté de 85 millions d’euros par l’effet de change négatif.
Pour 2018, le groupe prévoit un marché mondial en croissance de 2,5 %, avec une zone européenne en progression de 1 %. A l’international, les indicateurs sont au vert pour la Russie, le Brésil et la Chine, avec des croissances attendues de 10, 5 et 6 %. Dans ce contexte, Renault ambitionne de maintenir sa marge opérationnelle de 6 % et d’augmenter son chiffre d’affaires à taux de change et périmètre constants.
Sur le même sujet
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.