Jamais bénéficiaire depuis sa création, la marque néerlandaise a encore échappé au pire en réunissant 4,3 millions d’euros lui permettant de poursuivre son activité. Jusqu’à quand ?
Opel poursuit son offensive sur le plus important des segments en lançant la cinquième génération de son modèle le plus emblématique : la Corsa. La citadine porte en elle de sérieux arguments, style plus affirmé, châssis retravaillé et nouvelles motorisations essence, pour venir bousculer la hiérarchie établie.
Dernière déclinaison en date de la famille 500, la X se veut une version baroudeuse de la citadine, et devrait permettre à Fiat de toucher une clientèle urbaine plus masculine, tout en attaquant un nouveau segment.
C’est surtout à l’intérieur qu’il faut chercher les évolutions de la Classe B 2014, version restylée (une dernière fois) d’un modèle apparu en 2005 et dont le segment s’essouffle, même si la vision de Mercedes reste aujourd’hui seule ou presque sur le créneau.
Franck Cazenave est l’auteur d’un ouvrage intitulé “Stop Google”, qui décrypte le modèle économique du géant californien. En plus de stigmatiser un danger pour les acteurs en place, ce directeur du marketing et de l’innovation de Bosch France explique comment Google s’immisce progressivement dans l’Automobile et interpelle sur la réflexion à mener autour d’un modèle alternatif.
Le marché des véhicules électriques n’a toujours pas pris son envol, mais il serait toutefois hâtif de le déclarer mort-né. En effet, de grandes tendances mondiales jouent en sa faveur et malgré un net retard à l’allumage, la période 2015-2030 pourrait correspondre à la véritable amorce de son développement. Explications.
Le fournisseur de chargeurs pour véhicules électriques est le partenaire de la société Lafon Tehnologies qui va déployer quelque 180 points de charge pour VE à Paris et BMW a déjà décidé de déployer dans ses concessions américaines ses chargeurs rapides Wallbox.
Champion en titre et nouveau détenteur du record de victoires au Trophée Andros, Jean-Philippe Dayraut fait désormais les beaux jours de Mazda. Derrière le casque se découvre un compétiteur.
Confronté à un manque de main-d’œuvre instruite au véhicule électrique, le spécialiste de l’autopartage tente de faire bouger les lignes et accueille depuis septembre un premier apprenti.
Dans l’économie automobile asiatique moderne, l’ombre des géants que sont le Japon et la Chine recouvre le continent. Eclipsant pour ainsi dire les pays environnants. Taïwan compte parmi ceux qui souhaitent à moyen terme monter en puissance sur la scène internationale. Et l’électrique est un levier à activer.
Filiale du célèbre groupe indien, Tata Communications est devenue en moins de deux ans un acteur majeur du monde de la Formule 1 grâce à ses technologies de transmission de données. De quoi entrevoir une utilisation plus large à moyen terme.
Après les polémiques à l’époque du ministère du Redressement productif, revenons, à froid, sur la production automobile dans l’Hexagone. Après avoir touché le fond en 2013, celle-ci va reprendre peu à peu, grâce à une réorganisation et une modernisation des sites initiées par les constructeurs français. Mais il ne faut pas s’y tromper, l’âge d’or est terminé. La production annuelle française sera voisine de 2 millions d’unités à l’avenir.
Bien que la production en France doive légèrement progresser en 2014, elle restera à un niveau très bas. Les constructeurs nationaux réorganisent leur outil pour le rendre viable dans un contexte futur où le volume produit par an ne devrait pas dépasser 2 millions d’unités selon IHS. Explications.
L’indice du cabinet de conseil Strategy& sur la santé de l’industrie automobile française s’est contracté entre le 2e et le 3e trimestre 2014. En cause, une faible croissance de la demande, un niveau de production encore très bas et, surtout, une baisse de la capitalisation boursière de ses grands acteurs.
L'Américain vient de présenter un solide bilan financier 2014 malgré des chiffres en baisse. L'Amérique du Nord et la Chine ont été les moteurs d'une année qui est malgré tout restée difficile dans les autres zones géographiques.
Forte d'une année 2014 record, McLaren envisage 2015 avec les mêmes ambitions. Le développement du réseau et l'arrivée de la "petite" McLaren devrait lui faire franchir un nouveau cap.
Après BMW, Lexus, Mercedes, Nissan et Toyota, la marque coréenne sera également de la partie lors de la grande finale de football américain le 1er février prochain via les spots publicitaires moyennant un investissement de 4,5 millions de dollars pour trente secondes.
Après avoir vu ses ventes mondiales augmenter de 3% en 2014, à plus de 10,23 millions d'unités, Toyota, qui demeure le leader mondial, se montre prudent pour l'année 2015.
Internet, dis-moi quelle est la plus belle voiture de l'année ? Le modèle distingué sera connu ce soir dans le cadre du prestigieux Festival Automobile International.
Après un premier site en 2012, la marque américaine intensifie sa présence à Palo Alto, où elle ouvre les portes d’un centre de recherche et d'innovation.
Yves Pasquier-Desvignes, président de Volvo Car France, table sur 20% de croissance en 2015 et évoque un renforcement du réseau sur dix villes de taille moyenne.
Après un exercice 2014 rassurant, la marque japonaise compte sur deux nouveautés, la Celerio et le Vitara, pour accélérer sa croissance et atteindre un nouveau cap sur le marché hexagonal dès cette année.
A l'occasion du début de la saison du Championnat du monde des rallyes, le Coréen a dévoilé sa dernière application. Celle-ci propose au commun des mortels de prendre place dans le siège aux côtés de Dani Sordo.
En progressant sur tous les principaux marchés européens, le constructeur allemand réalise un exercice 2014 satisfaisant et s'attend à faire encore mieux cette année grâce à de nouveaux produits.
A l'instar de Hyundai, le constructeur sud-coréen a vu son bénéfice net chuter de 26% en 2014, la faute à une monnaie locale trop élevée par rapport au yen japonais notamment.
Malgré des ventes mondiales en progression, le constructeur sud-coréen se trouve pénalisé par l'évolution défavorable des devises japonaises et russes.