Le groupe automobile emmené par Carlos Tavares table désormais sur une marge comprise entre 5,5 et 7 %, contre 12 % l'an dernier. Son flux de trésorerie bascule dans le rouge vif. Stellantis estime souffrir de la situation en Amérique du Nord et d'une conjoncture de marché défavorable. Malgré les mesures annoncées, le titre est lourdement sanctionné en Bourse (-14 %).