Et si Stellantis ne produisait plus de véhicules en Chine ? C'est une solution envisagée par Carlos Tavares, le directeur général du groupe, qui discute actuellement avec ses partenaires chinois.
Protectionnisme, pouvoir d'achat, inflation... Les sujets d'inquiétude ne manquent pas pour Carlos Tavares, le dirigeant de Stellantis. Les décisions règlementaires et politiques font peser de graves risques d'instabilités sociales.
De l'électrique, de la data, des nouveaux services, de fortes ambitions dans le premium... Carlos Tavares a dressé la feuille de route de Stellantis jusqu’en 2030. Objectif : doubler le chiffre d'affaires, tout en maintenant une marge opérationnelle supérieure à 12 %.
Avec 14 marques à faire vivre, le directeur général de Stellantis va trancher dans de nombreux programmes car il a promis une stratégie pour chacune d'entre elles. Entre relance et renaissance, la vie de certaines marques va être agitée dans les mois à venir.
Après une rencontre avec le directeur général de Stellantis, les syndicats italiens ont été réconfortés par la volonté de la nouvelle entité de ne pas toucher aux emplois en Italie. Toutes les attentions porteront sur Alfa Romeo et Maserati.
Le patron du groupe français, également président de l'ACEA, a rappelé que PSA fera tout pour respecter les futures normes tout en critiquant l'absence de vision complète des décideurs européens.
Elu entrepreneur de l'année par BFM Business, Carlos Tavares, président du directoire du groupe PSA, a confirmé que toutes les marques avaient vocation à être maintenues après la fusion.
La famille Peugeot, actionnaire de PSA à hauteur de 12,23 %, a donné son feu vert à de potentielles opérations de croissance externe. Une possibilité dont Carlos Tavares ne s'est jamais caché.
Le patron de PSA prévoit un impact sur l’ensemble de la filière automobile dès la mise en œuvre des normes d’émission de CO2 en 2021. Le groupe pilote d’ores et déjà ses niveaux de stocks pour être prêt dès le 1er janvier 2020.
Le président du directoire du groupe PSA s'est rendu à la concession Opel de Dury (80) du groupe Gueudet, où il a échangé avec Cyril Gueudet et Jean-Michel Dragonne, directeur de la plaque Opel de l'opérateur.
Pour le président du directoire de PSA, entre 20 et 40 % du mix de ventes du groupe devra être électrifié pour répondre aux futures normes d'émissions de CO2 qui seront votées au Parlement européen, mercredi 3 octobre 2018.
Un mois avant le vote du Parlement européen sur les objectifs d’émissions de CO2 post-2020, Carlos Tavares, patron de l’Acea, appelle l’Europe à des cibles raisonnables au regard des faibles ventes de véhicules électriques.
Lors de la 37e édition de la cérémonie de l’Homme de l’Année, Carlos Tavares s'est livré sans tabou sur les risques qui pèsent sur l'industrie automobile, le retour de PSA aux USA, la voiture autonome, l'évolution de la distribution...
A quelques heures de la remise du prix de l'Homme de l'Année 2017, Carlos Tavares, président du directoire du groupe PSA, revient sur cette nomination, mais aussi sur les grands défis auxquels est confrontée l'automobile. Extraits choisis.
En tant que président de l’Acea, Carlos Tavares va soumettre aux membres de l’association des constructeurs européens la formalisation d’un engagement des Etats pour doter les territoires d’une densité minimale en bornes de recharge.
Quatre ans après son arrivée à la présidence du groupe PSA, Carlos Tavares remporte le titre de l’Homme de l’Année 2017 du Journal de l’Automobile. Le redressement du groupe, la performance de Peugeot et la prise de risque avec le rachat d’Opel ont été remarqués.
Le président du groupe PSA voudrait, selon un porte-parole, se réunir avec la chancelière allemande Angela Merkel et les syndicats d'Opel pour évoquer le rachat des activités européennes de General Motors.
Conscient qu'il faut pleinement accepter les mutations à l'œuvre dans notre monde, Carlos Tavares juge surtout névralgique la bonne appréhension de leur vitesse de déploiement.