Les concessionnaires algériens se frottent les mains. L'avant-projet de loi de finances penche notamment en faveur d'une réouverture des importations de VN. Reste à régler la question des droits de douane.
L'avant-projet de loi de finances 2020 ouvre la porte aux importations de véhicules d'occasion, interdites depuis près de quinze ans. Toujours en discussion, le cadre commence à se préciser.
A l'initiative du Premier ministre, Noureddine Bédoui, l'Algérie pourrait revenir sur la loi de 2005 interdisant les importations de véhicules d’occasion de moins de 3 ans. Une décision qui donnerait un nouveau visage au marché local.
L'instauration des licences et la fixation de quotas ont fait chuter les importations de VN de 68%. Du coup, le nombre de concessionnaires s'est aussi réduit de moitié…
Le Comité interministériel chargé de la délivrance des licences d’importation a défini les règles du jeu. En 2016, seuls quarante concessionnaires ont obtenu le droit de travailler sur la base d'un quota national de 152000 unités.
La marque américaine a passé un accord avec le groupe turc Emin Auto pour intensifier sa présence sur le marché algérien. C'est le second partenaire local de la marque localement.
En Algérie, la mise en place d’un nouveau cahier des charges des concessionnaires et la décision du gouvernement de geler les importations de VN ont plongé le secteur dans une crise sans précédent.
Les données dévoilées par le Centre national de l'informatique et des statistiques des douanes (Cnis) ont confirmé la baisse des importations en Algérie.
Petite révolution dans la distribution automobile en Algérie. Le gouvernement, dans le cadre de sa loi de finances 2014, veut obliger les concessionnaires à investir dans l'Industrie automobile locale afin de la rendre plus pertinente et compétitive, et ainsi freiner les importations massives.
Le spécialiste de la distribution automobile en Afrique a vu son CA reculer au troisième trimestre et ne s’attend pas à une croissance positive sur l’ensemble de l’exercice.
Pour mettre fin au débarquement massif de véhicules d'occasion qui bousculent le marché local, le gouvernement algérien a décidé, le 25 septembre dernier, de mettre un terme aux importations de véhicules de moins de trois ans. Ce qui n'est pas sans causer quelques soucis aux loueurs hexagonaux.
S'il...