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Valeurs résiduelles : l'essence rattrape son retard sur le Diesel

Publié le 10 janvier 2018

Par Tanguy Merrien
2 min de lecture
D'après une étude d'Autovista, les valeurs résiduelles des véhicules à motorisation Diesel perdent du terrain face à leurs homologues essence. Et ce n'est peut-être pas fini…

 

Lentement mais sûrement, les valeurs résiduelles des véhicules essence et Diesel tendent à se rapprocher sur le Vieux Continent. C'est ce qui ressort d'une étude de la société de cotation Autovista. Le différentiel favorable aux modèles Diesel depuis des années ne cesse de se contracter en France et en Allemagne.

 

Ainsi, si la valeur résiduelle d'un modèle Diesel était de 41% début 2015 en France après 36 mois/90000km et celle d'un modèle essence de 33% avec le même couple durée/kilométrage, ces pourcentages sont passés à respectivement 43% et 37% en 2017. En l'espace de deux ans, l'écart de valeur résiduelle entre les deux types de carburation est donc passé de 8 à 6 points. Et la France n'est pas une exception. En Allemagne, cet écart est passé de 7 à 4 points entre 2015 et 2017. La valeur résiduelle des modèles Diesel y est passée de 42% à 43% et celle des modèles essence de 35% à 39%.

 

De l'autre côté de la Manche ? Ici, la valeur résiduelle des modèles essence est déjà de meilleure facture que celle des modèles Diesel ! Et scandale du Dieselgate oblige, l'avantage de l'essence sur le gazole n'a cessé de s'y accentuer depuis 2015. En décembre dernier, la valeur résiduelle des modèles essence y était de 45% et celle des modèles Diesel de seulement 38%, données fournies toujours sur la base d'une durée d'utilisation de 36 mois/90000km.

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