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Covéa franchit la barre des 10 millions de véhicules

Publié le 30 janvier 2014

Par Armindo Dias
2 min de lecture
Le groupe mutualiste assure désormais plus de 10 millions de véhicules. Son portefeuille de contrats d'assurance auto a progressé de pas moins de 200000 unités en 2013.
Le groupe mutualiste assure désormais plus de 10 millions de véhicules. Son portefeuille de contrats d'assurance auto a progressé de pas moins de 200000 unités en 2013.

Covéa a franchi deux paliers en 2013. Sur l'exercice, le groupe mutualiste réunissant la Maaf, MMA et GMF a vu, d'une part, son nombre de véhicules assurés franchir la barre des 10 millions et, d'autre part, son chiffre d'affaires dépasser les 15 milliards d'euros. Ses recettes 2013 se sont établies très précisément à 15,5 milliards d'euros, soit une hausse de 5,8% par rapport à 2012. Son portefeuille de véhicules assurés s'est étoffé lui de pas moins de 200000 unités, soit une augmentation de 2,1%. "Nous avons réalisé une très bonne année 2013", résume Thierry Derez, le P-dg du groupe Covéa. Et le responsable peut d'autant plus s'en satisfaire que l'exercice écoulé n'a pas été de toute repos pour Covéa.

Mise en place d'un réseau panne

L'an dernier, le groupe a  non seulement placé la direction des sinistres (AIS) et les sociétés de protection juridique pour particuliers et professionnels APJ et DAS sous l'autorité de Michel Gougnard, mais aussi mis en place un réseau de panne mécanique commun à la Maaf, à MMA et à la GMF (il a été constitué autour de 1900 réparateurs, parmi lesquels 300 réparateurs déjà agréés et 1600 professionnels issus des réseaux Renault, Précisium et AD).

Réactivité plus forte

"La nouvelle configuration [du groupe] nous permet de nous positionner et de réagir plus efficacement aux évolutions du métier", relève Thierry Derez. Le responsable n'en fait pas moins des vœux pour 2014. Il souhaite notamment que nous assistions à "un démantèlement du principe de précaution" afin de relancer l'économie et la confiance en France. Le dirigeant considère que ce principe s'est très souvent révélé mortifère par le passé. "Il convient aussi d'y régler ce problème de défiance qu'il y a aujourd'hui par rapport au monde de l'entreprise", conclut Thierry Derez.

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