Alors que le marché des véhicules d’occasion enregistre une progression de 2% en données brutes sur le mois de novembre 2019, la part de marché des professionnels recule légèrement à 37,5 %.
Alors que le marché de l’occasion progresse au mois de novembre 2019, les véhicules diesel profitent de l’essor, enregistrant même quelques centaines d’immatriculations supplémentaires par rapport à novembre 2018.
Nombre de voyants sont passés à l'orange en 2019 pour le marché automobile mondial. De quoi laisser présager une année 2020 difficile ? Pas à en croire les prévisions de l’observatoire Cetelem qui table plutôt sur une stabilité.
Les professionnels ont été à l’origine de 47 690 mises à la route de voitures particulières en novembre 2019, soit une progression de 15,8 %. Le tout a représenté 27,6 % des immatriculations de VP en France, un niveau inhabituellement élevé.
Avec 463 429 immatriculations, le marché du véhicule d’occasion enregistre une hausse de 2 % au mois de novembre 2019. Une progression essentiellement soutenue par les marques allemandes.
Le marché français du VP neuf s'annonce bel et bien stable : voici ce qu'indiquent les chiffres. Difficile toutefois de porter un regard clair sur les performances des constructeurs, tant les variables influençant leurs résultats sont nombreuses.
En octobre 2019, les SUV ont franchi le cap des 40 % de part de marché en Europe. Un record. Parallèlement, la demande pour les modèles électrifiés a bondi de 41 %.
L'agence de notation Fitch prévoit une baisse d'environ 4 % des ventes mondiales de véhicules pour cette année 2019. 77,5 millions d'unités devraient être immatriculées contre 80,6 millions en 2018.
Avec plus de 1,17 million d'immatriculations durant le mois écoulé, le marché européen a progressé de 8,7 %. Un volume mensuel synonyme de meilleur mois d’octobre depuis 10 ans.
A en croire le ministre de l’Economie, Bruno le Maire, les Français auraient tendance à privilégier l'achat de véhicules de grosse cylindrée. Mais qu’en est-il vraiment ?
Avec une croissance 12,7 % en octobre 2019, le marché outre-Rhin a enregistré une solide performance. Au cumul, la barre des 3 millions est déjà franchie.
Au troisième trimestre 2019, la part de marché des véhicules diesel a chuté à 29,1% sur le continent. Les principaux marchés enregistrent une baisse à deux chiffres, sauf en Allemagne où le diesel fait de la résistance.
Les modèles 100 % électriques, hybrides rechargeables, hybrides et autres ont représenté quasiment 9,5 % des immatriculations totales en octobre 2019. Les électriques ont une nouvelle fois dépassé les 2 % de pénétration.
Pour la huitième fois de l'année, le marché britannique a reculé en octobre 2019. Les immatriculations ont faibli de 6,7 %, à 143 251 unités. Depuis le début de l'année, la chute est de 2,9 %, à 2,064 millions d'unités.
Le marché automobile français du VP neuf a continué sur sa bonne lancée depuis la rentrée. En octobre 2019, les immatriculations se sont accrues de 8,7 %.
En perdant 4,4 % en octobre 2019, les véhicules d'occasion diesel sont passés sous la barre symbolique des 60 % de pénétration. Les versions essence en profitent logiquement et les hybrides poursuivent sur leur lancée.
Le marché du véhicule particulier a affiché une croissance de 8,7 % en octobre 2019. Et ce n’est clairement pas grâce au canal des particuliers dont les immatriculations sont en recul de 7 % sur le mois.
Comme chaque mois, retrouvez le classement des dix modèles les plus revendus sur le marché de l'occasion. Il s'en est fallu de peu pour que la Clio descende de son trône.
Dans la foulée d’un mois de septembre 2019 de haut niveau, les immatriculations de véhicules particuliers et utilitaires légers dans les entreprises ont poursuivi leur ascension en octobre. Près de 85 000 mises à la route ont été comptabilisées, soit une hausse de 12,3 %.
Les constructeurs allemands ont tiré leur épingle du jeu en affichant des progressions sur un marché globalement stable. Depuis le début de l’année 2019, les transactions sont en hausse de 2 %.
Quelle est la part de SUV dans les immatriculations des 10 plus grandes villes de France et par département ? Exception faite de la région parisienne, les Français sont adeptes de ces modèles qui ont remplacé les monospaces.
Après un mois de septembre cataclysmique pour le marché européen en septembre 2018, la demande en véhicules neufs affiche logiquement un important regain, un an plus tard. Les immatriculations en Europe ont augmenté de 14,5 % en septembre 2019 à 1,2 million d'unités.
ANALYSE - Sur les cinq plus gros marchés automobiles européens, les ventes de véhicules d'occasion par les professionnels ont clairement creusé l'écart avec celles du VN, à fin juillet 2019, selon un rapport d'Autorola.
La publication par le cabinet ICDP du classement 2019 des 50 plus grands groupes de distribution européens crée l'opportunité de connaître les rapports de force sur le segment du marché du véhicule d'occasion.
Avec 142 606 immatriculations enregistrées en septembre 2019, le marché transalpin a progressé de 12,9 %. Une croissance en trompe-l'œil qui ne parvient pas à inverser la tendance depuis janvier où la baisse est de 1,9 %.
Avec 157 129 VP et VUL immatriculés durant le mois de septembre 2019, le marché russe se stabilise avec seulement 0,2 % de perdu. Depuis le début de l'année, le repli est de 2 %.
Malgré une croissance de 1,3 % en septembre 2019, liée aux conséquences du WLTP, le marché britannique reste terne et l'approche du Brexit ne va pas relancer les ventes.
Avec 18,3 % de croissance en septembre 2019, les chiffres espagnols sont flatteurs mais ils doivent beaucoup, comme en France, à la comparaison avantageuse avec les volumes de septembre 2018 qui avaient été plombés par le WLTP.
Alors que le marché a enregistré un bond de 5,36 % sur le mois, l’embellie a particulièrement profité à certains modèles. En l’occurrence la Renault Clio IV qui truste une nouvelle fois le podium des véhicules d’occasion les plus vendus.
L’essor du marché de la seconde main au mois de septembre 2019 est le fait essentiellement des véhicules âgés de moins de 5 ans. Les professionnels, qui détiennent en majorité ce marché, profitent naturellement des bons résultats.
La belle performance du marché automobile français en septembre 2019 s’explique aussi par des immatriculations sur les canaux tactiques à la fête. Alors, quelles ont été les marques qui en ont le plus abusé ?
Si le marché français semble renouer avec des immatriculations en hausse, la grande inconnue se porte sur la fin de l'année 2019 et 2020, lors de la mise en application des nouvelles normes européennes d’émissions de CO2. Les constructeurs semblent prêts, reste à savoir si les aides publiques suivront.
Avec une progression de 5,4 % en septembre 2019, le marché de l'occasion a enchaîné un troisième mois consécutif de hausse. Depuis le début de l'année, la croissance est de 1,7 %.
Bonne rentrée pour le marché automobile français du VP neuf. Alors que septembre 2018 avait été marqué par un effondrement pour cause de cycle NEDC corrélé, c’est tout logiquement que ce même mois affiche cette année une forte hausse des immatriculations.
Les ventes de voitures particulières aux entreprises, loueurs longue durée et administrations ont bondi de 41,3 % le mois dernier. Une envolée qui fait oublier la triste performance de septembre 2018 liée à l’arrivée du cycle WLTP.
Alors que le marché européen du VP affiche une certaine instabilité, celui du VUL brille par son dynamisme. Les immatriculations ont augmenté de 6,2 % depuis le début de l'année.
L’heure n’est pas à la fête pour le marché automobile européen, qui accuse aujourd’hui le contre-coup des immatriculations artificiellement gonflées en août 2018.
Avec un repli de 6,9 % en août 2019, le premier marché de la planète vient d'enregistrer son 14e mois consécutif de baisse. Cette année ne devrait pas voir les immatriculations augmenter.
En août 2019, le marché de la fédération a encore perdu 1,3 % avec 145 545 immatriculations enregistrées. Depuis janvier, la tendance est similaire avec un recul de 2,3 %.