PSA : l'appétit vient en gagnant ?
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Porté par de très bons résultats financiers, PSA pourrait-il devenir encore plus grand ? Interrogé par le quotidien français Les Echos sur la possibilité d'un nouveau projet de "croissance externe" qui pourrait être financé avec les plus de 8 milliards de liquidités du groupe, Carlos Tavares, le patron de PSA, a répondu que "tout est possible." Le dirigeant s'est également dit "ouvert à toutes les propositions" de partenariats avec d'autres groupes, y compris Fiat Chrysler (FCA).
"Mais ce n'est ni la colonne vertébrale de notre projet d'entreprise ni une fin en soi. Si le plan stratégique de croissance organique produit de bons résultats, cela laisse un peu d'espace pour saisir des opportunités comme celle d'Opel. On abordera cela comme une cerise sur le gâteau", a poursuivi Carlos Tavares.
Interrogé plus spécifiquement sur une éventuelle alliance avec le groupe italo-américain Fiat Chrysler (FCA), M. Tavares n'a pas fermé la porte. "Je ne fais aucune, aucune fixation sur Fiat Chrysler, ni sur un autre groupe. Les actionnaires de Fiat Chrysler se sont prononcés à plusieurs reprises sur le fait que PSA n'est pas le bon partenaire potentiel pour eux", a-t-il répondu. "Nous sommes ouverts à toutes les propositions, sept jours sur sept, 24 heures sur 24. Mais il faut être deux pour faire un deal", a-t-il ajouté.
Le marché a régulièrement spéculé sur une fusion de FCA avec un autre constructeur, que l'ancien PDG Sergio Marchionne avait un temps appelée de ses vœux. Fiat Chrysler pourrait avoir besoin d'un partenaire pour partager les coûts et investissements technologiques dans un marché automobile en pleine révolution avec l'arrivée des véhicules électriques, autonomes et connectés. (avec AFP)
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