Avec une baisse de la production de 44,6 % en août 2020, les usines britanniques ont seulement sorti 51 039 voitures. Depuis le début de l'exercice, l'activité a plongé de 41,1 %, à 348 821 unités.
A l'instar de son homologue français, le gouvernement espagnol va venir en aide à l'un de ses piliers économiques en débloquant une enveloppe de 3,75 milliards d'euros.
Les fermetures d’usines à la suite de la crise du coronavirus ont entraîné, à ce jour, une perte de production de près de 2,4 millions de véhicules, selon les calculs de l'ACEA.
Depuis lundi 18 mai 2020, les usines américaines de GM, Ford et FCA ont relancé leur production. Un test grandeur nature avant une reprise plus large de l'économie américaine.
Fermées depuis mi-mars, de nombreuses usines automobiles de Hongrie préparent leur redémarrage. Audi, Daimler, Suzuki et Opel travaillent pour adapter leur outil aux conditions sanitaires requises.
Les fermetures d’usines à la suite de la crise du coronavirus ont entraîné, à ce jour, une perte de production de près de 1,5 million de véhicules selon les calculs de l'ACEA.
La fermeture des usines en Europe en raison de l’épidémie de coronavirus concerne, selon l’Acea, plus de 1,1 million de travailleurs et provoque à ce stade la non-production de 1,2 million de véhicules.
Dans le pire des quatre scénarios retenus par Inovev, la production automobile pourrait chuter de près de 60 % en Europe. Celle de PSA et Renault reculerait dans une fourchette comprise entre 9 % et 55 % selon la sortie de crise.
Le fabricant de poids lourds se dirige vers un arrêt de ses usines en Europe. La production, notamment du site français d'Angers, devrait être stoppée au moins deux semaines à partir du 25 mars 2020.
Face à la montée en puissance du coronavirus sur le sol nord-américain, GM, Ford, FCA mais aussi Toyota, Nissan et Honda mettent leurs usines à l'arrêt.
Pour la troisième année consécutive, la production britannique a reculé. Avec seulement 1,3 million de véhicules assemblés en 2019, la baisse est de 14 %.
Selon les statistiques publiées par l'Anfac, l'association des constructeurs, les usines automobiles espagnoles sont parvenues, in extremis, à sauver le bilan annuel. Elles ont conclu 2019 en hausse de 0,1 %, à plus de 2,822 millions d'unités.
Alors que le marché allemand termine l'année 2019 sur une note positive avec des immatriculations en hausse de 20 % en décembre, le VDA tire la sonnette d'alarme après une chute de 9 % de la production.
En 2019, la production automobile allemande devrait baisser de 8,8 %. Avec 4,67 millions d'unités produites, l'industrie atteindrait son plus bas niveau depuis 22 ans.
Jusqu'en 2011, la France occupait la 2e place des pays producteurs d'automobiles. Depuis, la production française ne cesse de se réduire et le pays a été relégué au 5e rang européen en 2016.
Après une baisse de la production automobile estimée à 4 % en Europe durant l'année 2019, l'Institut IHS Markit, anticipe une nouvelle contraction de 0,5 % en 2020. Dans l'Hexagone, la production pourrait chuter de 21 % !
Selon un rapport publié par le Fonds Monétaire International, l'industrie automobile mondiale se replie suite aux effets de la transition vers la décarbonisation des véhicules. L'économie mondiale en pâtit.
Le rapport édité par le ministère du Commerce, de l'Industrie et de l'Énergie sud-coréen fait état d'un repli de 3,4 % des exportations au mois d'août 2019, à 164 154 unités. En valeur, les constructeurs ont toutefois progressé.
Le syndicat britannique des constructeurs a publié, jeudi 29 août 2019, les chiffres de production automobile du mois de juillet. Les VP et les véhicules commerciaux continuent de voir leur cadence fondre.
Malgré la perte de modèles importants, comme le Peugeot 2008, la production des usines françaises devrait rester supérieure à 2 millions d'unités dans les années à venir.