Vulog porté par le "free floating"
Les prochains mois devraient de nouveau être synonymes de forte croissance pour Vulog. En effet, la start-up spécialiste des technologies d'autopartage compte poursuivre son développement à l'international, ses solutions concernant déjà plus de 3000 véhicules au Canada et en Europe (ils sont exploités notamment dans le cadre des services Evo à Vancouver, Communauto à Montréal, Auto Bleue à Nice et Green Mobility à Copenhague, les solutions technologiques de la start-up étant aussi utilisées sur des véhicules exploités par la Mairie de Paris et la chaîne de télévision TF1). "Nous sommes partenaires d'opérateurs de mobilité qui ont répondu récemment à une dizaine d'appels d'offres en Europe", explique Christophe Amalric, le responsable marketing et communication de Vulog. Et rien d'étonnant à cela : de plus en plus de villes souhaitent mettre en place des solutions d'autopartage en libre-service.
Mais la croissance de la jeune pousse pourrait aussi reposer de plus en plus sur les constructeurs automobiles. Un constructeur français se serait récemment rapproché de la start-up afin de développer un service d'autopartage qui pourrait être déployé dans plusieurs grandes villes sur le Vieux Continent. Et, bien sûr, cette nouvelle offre viendrait directement concurrencer des services déjà existants tels que Car2 Go (Daimler) ou DriveNow (BMW). "Nous sommes au tout début de la révolution de la mobilité urbaine et nous sommes plus que jamais idéalement placés sur ce marché en pleine expansion", relève Grégory Ducongé, le directeur général de Vulog.
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