Technologie, mobilité et services
Applications mobiles, eCall, bCall… Ces termes vont continuer à faire partie du quotidien d’Europ Assistance. En effet, au cours des prochains mois, l’assisteur va encore faire en sorte de développer des applications, services et programmes reposant sur les nouvelles technologies. “Les assureurs cherchent à accroître leur proximité avec les automobilistes, et les loueurs veulent mettre en place des services synonymes d’optimisation de flottes et de mobilité garantie pour les conducteurs”, explique Frédéric Offner, directeur commercial et développement d’Europ Assistance France. Par ailleurs, les constructeurs cherchent, eux, à étoffer leurs offres produits et à fournir de l’activité après-vente aux réseaux.
“Nous travaillons donc sur des applications pour smartphones et sur des services reposant sur des boîtiers intégrés aux véhicules entrant dans le cadre des systèmes dits eCall ou bCall”, indique Patricia Lefrant, responsable marketing automobile d’Europ Assistance France.
Plusieurs partenaires de la LCD
L’assisteur prend aussi en compte la montée en puissance des nouvelles formes de mobilité, type autopartage et covoiturage. Europ Assistance travaille ici déjà avec le groupe Zipcar. Europ Assistance est aussi l’assisteur d’Avis, la maison mère de Zipcar. “Nous le sommes aussi d’Ada, de Hertz et de Budget”, relève Frédéric Offner.
Les autres partenaires de l’assisteur incluent les marques Honda, Hyundai, Nissan, Infiniti et toutes celles du groupe Fiat. Côté financières et loueurs longue durée, ils ont pour appellation Volkswagen Financial Services, FGA Capital, GE Money Bank, Financo, CGI, FAL Fleet Services, GE Capital Fleet Services et ALD Automotive. “Nous avons renouvelé notre partenariat avec Nissan en 2014 et débuté celui avec Infiniti à la mi-2014”, souligne Frédéric Offner. L’assisteur a en revanche perdu ses partenariats avec Toyota Assurances et Système-U. Et il n’est plus le “propriétaire” d’Icare : le garantisseur évolue désormais dans le périmètre de BNP Paribas Cardif. “Notre volumétrie de dossiers automobile est donc logiquement passée de 510 000 en 2013 à près de 310 000 en 2014”, conclut Frédéric Offner.
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