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Mondial ou Global, il faut choisir

Publié le 13 octobre 2006

Par Alexandre Guillet
4 min de lecture
L'échec de la voiture mondiale doit-il mettre un terme à toute réflexion sur la globalisation ? Non, mais reste à savoir quel client global on vise, le riche qui peut s'offrir une voiture "européenne", le pauvre qui doit aujourd'hui se contenter de l'offre VO, ou les deux… Pour...
L'échec de la voiture mondiale doit-il mettre un terme à toute réflexion sur la globalisation ? Non, mais reste à savoir quel client global on vise, le riche qui peut s'offrir une voiture "européenne", le pauvre qui doit aujourd'hui se contenter de l'offre VO, ou les deux… Pour...

...une fois, nous avons séché le Mondial, parce qu'au regard de ce qui est en train de se passer dans l'industrie automobile à l'échelle du globe, un Salon, aussi prestigieux qu'il ait pu être dans le passé, est très certainement un endroit hors du temps. D'ailleurs, il y a assez peu de modèles authentiquement nouveaux, ce qui est un progrès certain par rapport à l'édition précédente qui, elle, fut riche en objets métalliques satisfaisants pour l'esprit de ceux qui les avaient créés, mais destinés à un avenir déplorable, faute de clients. Peut-être les constructeurs sont[...]


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