Selon les premières données fournies par AAA Data arrêtées au 29 août 2018, ce mois estival s’annonce historique pour le marché français du VP neuf. Des résultats à mettre en relation avec l’application imminente du cycle d’homologation WLTP.
Selon Jato, l’Allemagne n’est plus le quatrième marché automobile mondial. Sur la première partie de l’année, l'Inde est passée devant, portée par une croissance à deux chiffres. L’Europe est tout de même restée solide pendant ce premier semestre.
La hausse de la demande européenne en véhicules utilitaires légers a atteint plus de 5 % sur la première partie de l’année, après un mois de juin robuste.
La hausse de 5 % des ventes de voitures particulières au premier semestre 2018 a surtout profité aux SUV, même si les berlines ont plutôt bien résisté et viré en tête du classement avec 582 847 unités au compteur. Les autres segments sont en revanche à la peine.
Après un mois de juin historique, le meilleur depuis 10 ans, la croissance de la demande en véhicules particuliers dans l’Europe a atteint 2,9 % au premier semestre. Alors que les groupes français ont tiré leur épingle du jeu, les premium ont souffert sur cette première partie de l'année.
Après un début d'année difficile, le marché chinois redresse la tête pour conclure le premier semestre avec plus de 14 millions d'immatriculations, soit un gain de 5,5 %. Pour l'heure, l'estimation annuelle de croissance se limite à 3 %, mais la modification des droits à l'importation pourrait la doper.
Relativement bien orienté au premier semestre 2018 avec des immatriculations en hausse de 3,7 %, à 417 874 unités, le marché des flottes a surtout été marqué sur la période par des mouvements importants au niveau des énergies. Le diesel a été à la peine tandis que l’essence, les électriques et les hybrides sont montés en flèche.
Les immatriculations de véhicules électriques ont atteint 18 670 unités au premier semestre 2018, un total en croissance de 15,5 %. Le modèle le plus prisé demeure la Renault Zoé avec 8 370 exemplaires au compteur.
Après s'être violemment effondré entre 2013 et 2016, le marché automobile russe a poursuivi sa reprise en juin 2018 avec une croissance de 10,8 % de ses ventes de véhicules neufs.
Les ventes de véhicules neufs ont reculé de 3,5 % en juin 2018 au Royaume-Uni. La forte hausse de la demande pour les modèles essence et électriques n'a pas réussi à compenser le déclin du diesel.
Après un recul de 5,8 % en mai, le marché allemand termine le premier semestre 2018 sur une meilleure note avec une croissance de 4 % enregistrée en juin. L'occasion également pour la VDA de faire le point sur la production attendue et les défis qui se dressent devant l'industrie automobile du pays.
Avec un nouveau mois de juin en recul de 1,1 %, le premier semestre n'a pas rattrapé son retard et accuse un repli de 1,5 %, à 2,86 millions d'unités. Si les VO récents se portent mieux, les transactions de véhicules de plus de 5 ans ont plombé le marché.
Si le marché de la seconde main semble progressivement se tourner vers les VO plus récents, force est de constater que les motorisations diesel n'ont plus la cote. Cette motorisation a reculé de 5,44 % entre les premiers semestres de 2017 et 2018.
Sur un marché automobile français du véhicule particulier en hausse de 4,7 %, le Top 10 des véhicules les plus vendus en 2018 s’impose comme exclusivement français, avec un équilibre parfait entre PSA et Renault.
Le marché automobile français du véhicule particulier a connu en juin une croissance de près de 9,5 % aussi bien en données brutes qu'à nombre de jours ouvrés identique. Une belle performance accentuée notamment par l’échéance du cycle d’homologation WLTP et par l'explosion des ventes en courte durée.
Le premier semestre a reflété le dynamisme sain du marché français des véhicules particuliers. Sur cette période, les ventes se sont accrues de 4,7 %, dont 68 % réalisées sur les canaux rentables.
Selon l’ACEA, Association des constructeurs européens d’automobiles, le marché du véhicule utilitaire léger a de nouveau connu une belle croissance en mai, dynamisée par quatre des cinq plus grands marchés.
Jato Dynamics vient de livrer les chiffres mondiaux pour le premier quadrimestre 2018. Les ventes sont en hausse, portées par les SUV qui n'en finissent pas de gagner du terrain.
2018 sera décidément une année en dents de scie pour le marché automobile européen. Après une solide croissance en avril, la demande pour les véhicules particuliers n’a que faiblement augmenté en mai, selon l'Acea.
Selon le président du patronat britannique, l'industrie automobile de son pays s'apprête à vivre des heures sombres si une forme d'union douanière avec l'UE n'est pas préservée.
En mai 2018, les ventes ont augmenté de 9,6 % en Chine pour atteindre 2,29 millions d'unités. Les véhicules électrifiés affichent une croissance de 125,6 % sur le mois.
Après 17 % de gagnés en avril 2018, le marché russe progresse de 18 % en mai. La dynamique est bonne, mais doit également beaucoup à des achats par anticipations grâce à la faiblesse du rouble.
Les immatriculations de véhicules électriques poursuivent leur marche en avant en mai. Elles progressent de 7,9 %, à 2 477 unités. Le marché est bien orienté depuis janvier avec plus de 14 000 immatriculations cumulées.
Le rebond d'avril (+3,3%) n'était qu'un feu de paille. En effet, le marché VO est retombé dans ses travers en mai et recule à nouveau de 2,3 %. Seule bonne nouvelle pour les professionnels, les VO récents s'en sortent…
Après un mois d’avril mené tambour battant (+7,1 %), le marché des flottes a repris son souffle en mai avec des immatriculations en hausse timide de 1 %, à 64 527 unités. Si les voitures particulières ont plutôt bien résisté, les utilitaires légers sont passés dans le rouge.
Après des mois de chute, le marché britannique s'offre un répit en mai 2018 avec des immatriculations en hausse de 3,4 %. Depuis janvier, les immatriculations demeurent en baisse de 6,8 %.
Malgré des ventes de diesel en repli de 27,2 % en mai 2018, le marché allemand affiche un recul brut de 5,8 %, mais une croissance de 2 % à nombre de jours ouvrés comparable.
En mai 2018, le marché automobile français du véhicule particulier s’est certes tassé, mais a tout de même eu le mérite de favoriser, une nouvelle fois, les canaux de vente rentables.
Le rebond d'avril (+3,3 %) n'était qu'un feu de paille. En effet, le marché VO est retombé dans ses travers en mai 2018 et recule à nouveau de 2,3 %. Seule bonne nouvelle pour les professionnels, les VO récents s'en sortent…
Après des mois de progression, le marché français du véhicule particulier a connu un ralentissement en mai, avec un jour ouvré en moins. Les constructeurs hexagonaux ont affiché des résultats mitigés. Tandis que les ventes de Dacia et DS Automobiles se sont envolées, Citroën et Renault ont chuté, Peugeot a stagné.
Selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles, la demande européenne pour les véhicules utilitaires légers a connu une nouvelle progression en avril après un mois de mars maussade.
Selon les statistiques publiées par Jato, les ventes de véhicules électriques, toutes technologies confondues, ont enregistré une croissance de 21 % au cours du premier trimestre. Avec 1,09 million d'unités au compteur, il s'agit de la meilleure performance sur la période.
L'organisme AAA-Data annonce que 2018 sera une nouvelle année de croissance pour le marché français VP. Il table sur une progression annuelle de 3,95 %.
Avec 1,3 million de VP immatriculés en avril 2018, le marché de l'Union progresse de 9,6 %. Au cumul, la dynamique est moins forte avec une hausse de 2,7 %. Dans ce contexte, les généralistes, à l'image de VW ou PSA, gagnent des parts de marché quand la situation est plus contrastée pour le trio allemand du premium.
Les exportations automobiles sud-coréennes ont marqué le pas en avril 2018. D'après les chiffres officiels du ministère du Commerce, de l'Industrie et de l'Energie, les volumes ont connu un repli de 8 %.
Soutenu par la hausse des VO récents, le marché de la seconde main a enfin redressé la tête en avril, après cinq mois de baisse continue, avec une progression de 3,3 % et 480 461 transactions enregistrées. Depuis janvier, le marché perd toutefois du terrain (-1,5 %).
Après un recul de 3,4 % en mars, le marché allemand, le plus important d'Europe, a enregistré une croissance de 8 % en avril 2018. Dans ce contexte, le diesel a limité la casse.
Grâce à une base de comparaison flatteuse, le marché britannique affiche une croissance de 10,4 % en avril 2018. Une croissance sans doute éphémère qui confirme toutefois les difficultés du diesel et de sombres perspectives pour l'industrie locale.
Le déclin du diesel se poursuit en Europe : sur le premier trimestre, les ventes de ce type de véhicule ont plongé de plus de 17 % par rapport à la même période de 2017, au profit des essence et modèles à motorisation alternative.
En avril, la demande sur le marché automobile français du véhicule particulier s’est accrue de 9 % en données brutes et de 3,6 % à nombre de jours ouvrés comparable. Un dynamisme à mettre une nouvelle fois au crédit des ventes réalisées sur les canaux sains.