Le marché russe a limité la casse en août 2020 avec une baisse des immatriculations VP et VUL de 0,5 %, à 137 517 unités. Après huit mois d'activité, les ventes sont en repli de 16,9 %.
Après un léger rebond post-confinement en juillet, les immatriculations ont chuté de 5,8 % en août 2020, à 87 226 unités. Depuis le début de l'exercice 2020, la baisse est de 39,7 % avec seulement 915 615 immatriculations.
Le mois d'août 2020 n'a pas souri aux véhicules d'occasion très récents. Il apparaît que les produits de moins de 6 mois d'ancienneté ont chuté de 42,2 %. La conséquence d'un fort effet de base.
Après deux légères progressions de la demande en juin et juillet, le marché automobile français du véhicule particulier a replongé en août 2020. Un retrait attendu, alors qu'août 2019 avait été exceptionnel, boosté par l'entrée en vigueur du cycle WLTP.
Avec 47 275 immatriculations de voitures particulières et utilitaires légers, le marché des flottes a concédé un repli modéré de 6,3 % en août 2020. Mention spéciale pour les hybrides et électriques qui poursuivent leur montée en puissance.
Le marché du véhicule d'occasion achève le mois d'août 2020 sur une progression de 16,8 %. 491 315 véhicules ont été immatriculés. Depuis le début de l'année, les transactions reculent toutefois de 9,2 %.
En juillet 2020, le marché du véhicule utilitaire léger d'occasion a enregistré 84 240 transactions. En comparaison avec l'an passé, ce total augmente de 11,1 %. Comme en juin, Fiat a été l'acteur majeur de cette accélération.
Selon les statistiques de AAA Data, le mois de juillet dernier a encore permis aux véhicules électrifiés d'occasion de profiter des aides gouvernementales. Il en résulte des rythmes de croissance impressionnants. Mais le diesel n'a rien lâché.
Durant un mois de juillet 2020 qui a enregistré une nouvelle progression significative des ventes de véhicules d'occasion, la Bretagne a vu ses volumes d'immatriculations croître de 18,4 %. Bilan des régions.
Avec 642 603 unités au compteur, le marché du véhicule d'occasion hexagonal a crû de 13,3 %, en juillet 2020. Les professionnels n'ont pas manqué le coche, notamment en travaillant le cœur du segment.
Les modèles chinois vendus en Europe ne sont pas légion mais avec la montée en puissance des électriques, certaines marques tentent leur chance sous nos latitudes. MG fait partie de celles-là.
Avec plus de 400 000 modèles électriques et hybrides rechargeables écoulés lors des six premiers mois de l'année, l'Europe dépasse la Chine qui dominait les ventes depuis 2015 sur ces segments.
Après des mois noirs, la demande des Européens pour les véhicules utilitaires légers n’a reculé que de 10 % en juin 2020. Sur le premier semestre, le repli atteint près d’un tiers, selon les chiffres de l'ACEA.
Le mois de juin 2020 a souri aux VU d'occasion qui ont enregistré une croissance de 29,9 %. La chute semestrielle est toutefois de 17,1 %. Depuis janvier, 343 893 VUL ont changé de mains.
La demande en VP neufs en Europe s'est repliée de 22,3 % en juin 2020. Seule la France est parvenue à enregistrer une légère croissance devenant ainsi, ponctuellement, le premier marché continental devant l’Allemagne.
Si toutes les régions de France ont enregistré, en juin 2020, une très belle progression des immatriculations de VO, il s'avère que l'Ile-de-France a connu une hausse plus forte encore, gagnant 37,1 %.
Au terme du premier semestre 2020, la Renault Clio IV conserve sa couronne sur le marché du véhicule d'occasion. En dépit d'un repli de 23 % des immatriculations, elle devance la Peugeot 208 de presque 3 000 unités.
Après un léger rebond en mai 2020, le marché chinois a reculé de 6,5 % en juin. Quelque 1,68 million de VP ont ainsi été immatriculés pour conclure ce premier semestre.
Sur un marché du VP neuf tourmenté durant le premier semestre de l'année 2020, quelques modèles ont toutefois été plébiscités. Selon les données fournies par AAA Data, les goûts des Français varient fortement selon les canaux.
Après un premier semestre 2020 où les ventes ont reculé de 23,3 %, le marché russe ne devrait pas rebondir d'ici la fin de l'année. Le comité des constructeurs du pays estime qu'il y aura 1,3 million VP et VUL vendus, soit près de 24 % de moins.
Qu'ils soient hybrides ou 100 % électriques, les véhicules d'occasion électrifiés ont connu un mois de juin sans équivalent. Les deux catégories ont même doublé leur volume par rapport à l'an passé.
Avec une chute de 32,3 % en juin 2020, le marché allemand reste mal orienté. Depuis le début de l'exercice, la baisse des immatriculations atteint 34,5 % et le VDA estime qu'il manquera près d'un quart des ventes lors du bilan annuel en décembre prochain.
Après le passage à vide de trois mois, les immatriculations B2B ont repris leur marche en avant en juin avec 87 018 immatriculations, un total en hausse de 2,9 %. La forte croissance sur le segment des VUL a compensé une légère baisse sur celui des VP.
Au mois de juin 2020, il s'est vendu 44 450 véhicules d'occasion âgés de 6 à 12 mois. Si la pénétration reste inférieure à 8 %, l'accélération est remarquable avec des chiffres deux fois plus élevés que l'an passé.
Les chiffres du marché du VO du mois de juin font état d'une reprise vigoureuse, dans l'Hexagone. Avec près de 600 000 changements d'immatriculation comptabilisés par AAA Data, le score est en hausse 29,2 % par rapport à l'an passé.
Après trois mois de chute spectaculaire de la demande, le marché français du VP neuf est parvenu à enregistrer, en données brutes, une maigre croissance, permise par le dynamisme du canal des particuliers. Le point de départ d’une reprise plus marquée dans les prochains mois ?
Affecté par la crise, le marché du véhicule industriel a été le reflet, jusqu’à fin mai, d’une économie à l’arrêt. Les ventes ont connu une récession historique et la France a été particulièrement touchée.
En mai 2020, la citadine française s'est plus vendue que la compacte allemande en Europe, selon les chiffres de Jato. Sur un marché en baisse de 57 %, les modèles électrifiés ont plus que doublé leur part de marché.
Après la crise du coronavirus, l'ACEA estime aujourd'hui que le marché VP du continent devrait baisser de 25 % sur l'année 2020. Il pourrait totaliser 9,6 millions d'unités contre 12,9 millions un an plus tôt.
Un premier bilan des immatriculations mi-juin 2020 montre une baisse de 5 % des cartes grises. Le marché confirme donc un certain rattrapage mais la part des véhicules de démonstration est également en forte hausse, surtout dans les motorisations électriques et hybrides.
Selon les données de l’ACEA, la demande en véhicules particuliers neufs en Europe a chuté de 52,3 % en mai 2020 par rapport à la même période de l’année précédente.
Dans une récente étude sur les impacts de la pandémie de coronavirus, le cabinet Roland Berger n'envisage pas de retour à un rythme normal des ventes de voitures neuves avant 2024.
Le commerce automobile semble bien reparti en juin 2020, notamment sous l'effet des aides gouvernementales. Tout le défi maintenant est de faire en sorte que ce redémarrage rapide ne soit pas un feu de paille.
Les immatriculations de voitures neuves repartent à la hausse en Chine, pour la première fois depuis juin 2019. Le marché retrouve de la vigueur après une chute de 80 % en février 2020, puis de 41,8 % en mars à cause de la crise sanitaire liée au coronavirus.
Avec un repli de 49,5 % en mai 2020, le marché allemand sort difficilement du confinement. Une baisse de la TVA pourrait relancer les achats dans les semaines à venir. Depuis le début de l'année, le recul est de 35 %.
Avec seulement 20 247 immatriculations sur le mois, en baisse de 89 %, le marché britannique enregistre sa pire performance pour un mois de mai depuis 1952. Seul point positif, les véhicules électriques progressent.
Avec 63 033 unités immatriculées durant le mois de mai 2020, le marché russe VP-VUL baisse de 51,8 %. La reprise devrait intervenir en juin avec l'application des premières mesures de soutien à l'automobile.
Avec une baisse de 72,7 %, les immatriculations espagnoles ne témoignent pas d'une grosse reprise de l'activité durant le mois de mai 2020, pourtant synonyme de déconfinement. Depuis janvier, le marché a déjà reculé de 54,2 %.