Sur un marché du VP neuf tourmenté durant le premier semestre de l'année 2020, quelques modèles ont toutefois été plébiscités. Selon les données fournies par AAA Data, les goûts des Français varient fortement selon les canaux.
Après un premier semestre 2020 où les ventes ont reculé de 23,3 %, le marché russe ne devrait pas rebondir d'ici la fin de l'année. Le comité des constructeurs du pays estime qu'il y aura 1,3 million VP et VUL vendus, soit près de 24 % de moins.
Qu'ils soient hybrides ou 100 % électriques, les véhicules d'occasion électrifiés ont connu un mois de juin sans équivalent. Les deux catégories ont même doublé leur volume par rapport à l'an passé.
Avec une chute de 32,3 % en juin 2020, le marché allemand reste mal orienté. Depuis le début de l'exercice, la baisse des immatriculations atteint 34,5 % et le VDA estime qu'il manquera près d'un quart des ventes lors du bilan annuel en décembre prochain.
Au mois de juin 2020, il s'est vendu 44 450 véhicules d'occasion âgés de 6 à 12 mois. Si la pénétration reste inférieure à 8 %, l'accélération est remarquable avec des chiffres deux fois plus élevés que l'an passé.
Après le passage à vide de trois mois, les immatriculations B2B ont repris leur marche en avant en juin avec 87 018 immatriculations, un total en hausse de 2,9 %. La forte croissance sur le segment des VUL a compensé une légère baisse sur celui des VP.
Les chiffres du marché du VO du mois de juin font état d'une reprise vigoureuse, dans l'Hexagone. Avec près de 600 000 changements d'immatriculation comptabilisés par AAA Data, le score est en hausse 29,2 % par rapport à l'an passé.
Après trois mois de chute spectaculaire de la demande, le marché français du VP neuf est parvenu à enregistrer, en données brutes, une maigre croissance, permise par le dynamisme du canal des particuliers. Le point de départ d’une reprise plus marquée dans les prochains mois ?
Affecté par la crise, le marché du véhicule industriel a été le reflet, jusqu’à fin mai, d’une économie à l’arrêt. Les ventes ont connu une récession historique et la France a été particulièrement touchée.
En mai 2020, la citadine française s'est plus vendue que la compacte allemande en Europe, selon les chiffres de Jato. Sur un marché en baisse de 57 %, les modèles électrifiés ont plus que doublé leur part de marché.
Après la crise du coronavirus, l'ACEA estime aujourd'hui que le marché VP du continent devrait baisser de 25 % sur l'année 2020. Il pourrait totaliser 9,6 millions d'unités contre 12,9 millions un an plus tôt.
Un premier bilan des immatriculations mi-juin 2020 montre une baisse de 5 % des cartes grises. Le marché confirme donc un certain rattrapage mais la part des véhicules de démonstration est également en forte hausse, surtout dans les motorisations électriques et hybrides.
Selon les données de l’ACEA, la demande en véhicules particuliers neufs en Europe a chuté de 52,3 % en mai 2020 par rapport à la même période de l’année précédente.
Dans une récente étude sur les impacts de la pandémie de coronavirus, le cabinet Roland Berger n'envisage pas de retour à un rythme normal des ventes de voitures neuves avant 2024.
Le commerce automobile semble bien reparti en juin 2020, notamment sous l'effet des aides gouvernementales. Tout le défi maintenant est de faire en sorte que ce redémarrage rapide ne soit pas un feu de paille.
Les immatriculations de voitures neuves repartent à la hausse en Chine, pour la première fois depuis juin 2019. Le marché retrouve de la vigueur après une chute de 80 % en février 2020, puis de 41,8 % en mars à cause de la crise sanitaire liée au coronavirus.
Avec 63 033 unités immatriculées durant le mois de mai 2020, le marché russe VP-VUL baisse de 51,8 %. La reprise devrait intervenir en juin avec l'application des premières mesures de soutien à l'automobile.
Avec un repli de 49,5 % en mai 2020, le marché allemand sort difficilement du confinement. Une baisse de la TVA pourrait relancer les achats dans les semaines à venir. Depuis le début de l'année, le recul est de 35 %.
Avec seulement 20 247 immatriculations sur le mois, en baisse de 89 %, le marché britannique enregistre sa pire performance pour un mois de mai depuis 1952. Seul point positif, les véhicules électriques progressent.
Avec une baisse de 72,7 %, les immatriculations espagnoles ne témoignent pas d'une grosse reprise de l'activité durant le mois de mai 2020, pourtant synonyme de déconfinement. Depuis janvier, le marché a déjà reculé de 54,2 %.
L'équilibre des forces entre les différentes motorisations est redevenu, en mai 2020, celui d'avant-crise. Les VO diesel dominent toujours, bien qu'ils aient cédé quelques miettes aux véhicules essence et hybrides.
Encore sous l'influence du confinement, les professionnels n'ont pas pesé bien lourd dans les transactions de VO en mai 2020. Les échanges entre particuliers allant bon train, les produits âgés ont réalisé les volumes les plus importants.
Le déconfinement a permis aux transactions de véhicules d'occasion de reprendre du rythme en mai 2020. Les dossiers en attente ont pu être finalisés et ont contribué à cumuler près de 321 000 reventes, atténuant l'effet d'inertie.
Avec la perte de six jours ouvrés en mai 2020, le marché automobile français du VP neuf a vu ses volumes diminuer de moitié, à moins de 100 000 unités écoulées. Un résultat toutefois de meilleur augure, après un mois d'avril catastrophique.
Avec 44 058 immatriculations de voitures particulières et utilitaires légers au compteur en mai 2020, le marché BtoB a retrouvé quelques couleurs après deux mois de confinement, synonymes d’un arrêt presque total d’activité.
L’an passé, les pays de l’UE ont fabriqué moins de VP qu'en 2018, alors que la demande s'est accrue. Cette tendance baissière a aussi été observée du côté des exportations, tandis que les importations ont progressé.
Sans surprise, le marché européen du véhicule utilitaire léger a accusé une rude chute en avril 2020, de près de 70 %. Depuis le début de l’année, celui-ci a perdu plus d’un tiers de ses immatriculations.
Le Premier ministre de la fédération a annoncé un plan de soutien à l'automobile dépassant 320 millions d'euros. De plus, les constructeurs, comme AvtoVaz ou Volkswagen, vont réduire le temps de travail dans leurs usines locales.
Avec un plongeon de 76,3 %, à seulement 270 682 unités, le marché VP dans l'Union européenne a touché le fond. Depuis janvier, la baisse est de 38,5 %. Il manque déjà 1,7 million d'immatriculations par rapport à 2019.
Le premier trimestre 2020 a été le théâtre de la montée en puissance des véhicules électrifiés sur le marché européen du VP neuf. Ils affichent une pénétration de 6,8 %, soit plus de 167 000 immatriculations.
Confinée le 28 mars 2020, la Russie subit les mêmes conséquences économiques qu'ailleurs. Logiquement, le marché automobile VP et VUL a plongé de 72,4 % avec seulement 38 992 immatriculations. Depuis janvier, la baisse atteint 19,1 %.
Avec une chute de 61,1 % en avril 2020, le marché allemand totalise 120 840 immatriculations. Un niveau historiquement bas pour le pays mais un résultat bien meilleur que ses voisins.
En avril, la part des véhicules hybrides et électriques s’est maintenue à un niveau significatif dans le marché français du VP neuf. Une proportion toutefois en recul par rapport au premier mois de l’année, selon les données AAA Data.
Avec seulement 4 321 immatriculations, en chute de 97,3 %, le marché automobile du Royaume-Uni a connu un mois d'avril 2020 catastrophique. Au cumul, la baisse est de 43,4 % et le SMMT s'attend à un exercice de 1,68 million d'unités.
Dans un contexte de marché forcément particulier, les quelques transactions de VO bouclées en avril 2020 ont naturellement vu les véhicules de plus de 6 ans s'imposer.
Sans surprise, le marché du VO a enregistré une chute vertigineuse durant le mois d'avril 2020. Selon les données publiées par AAA Data, les immatriculations ont plongé de 77,1 %, à 115 424 unités.
En avril 2020, les immatriculations à destination de la clientèle professionnelle ont dévissé de 84,4 %, avec seulement 11 695 VP et VUL. Les marques françaises ont été à l’origine de l’essentiel de l’activité.
Pas de surprise pour le marché automobile français du VP en avril 2020. Comme prévu, le confinement et la fermeture des showrooms ont quasiment stoppé les immatriculations, avec, pour chaque marque, des volumes en chute libre de près de 90 %.