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Constructeurs

Véhicule connecté : Deloitte milite pour une définition plus rigoureuse

Publié le 30 septembre 2016

Par Alexandre Guillet
< 1 min de lecture
Guillaume Crunelle plaide pour une détermination plus stricte du périmètre du véhicule connecté, afin que tout le monde parle de la même chose et d'éviter les approximations.
Guillaume Crunelle plaide pour une détermination plus stricte du périmètre du véhicule connecté, afin que tout le monde parle de la même chose et d'éviter les approximations.

 

Le véhicule connecté ne serait-il pas devenu un mot-valise ? Comprenez, une lexie trop imprécise et floue pour permettre des débats et des réfexions constructives.

 

Guillaume Crunelle, associé chez Deloitte et responsable de l'industrie automobile, n'est pas loin de le penser : "Il faut définir avec rigueur ce que l'on inclut dans le véhicule connecté, afin d'être certain de parler de la même chose. Surtout qu'il y a parfois des confusions entre véhicule connecté et véhicule autonome, sans même parler des différents stades d'autonomisation, jusqu'au véhicule 100% autonome, l'aboutissement technologique ultime. Plusieurs définitions peuvent donc cohabiter."

 

Et d'ajouter : "Aujourd'hui, beaucoup d'observateurs du marché se cantonnent sur des notions d'outils et interfaces, alors que le véhicule connecté renvoie avant tout à un univers serviciel. Il nous projette d'ores et déjà dans cet univers. Qui s'accompagnera, certes, d'évolution de l'intégration des fonctions et de leurs usages. Via la multiplication des écrans, du tactile ou de la reconnaissance vocale et gestuelle par exemple. En somme, les grandes ruptures sont encore à venir. Et constructeurs et équipementiers y travaillent d'arrache-pied."

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