Trade d’unions
Une nouvelle fois, Chrysler ressuscite, et enterre de vieux accords issus de négociations laborieuses tout en ouvrant le feu sur les fonds d'investissements. Des laissés pour compte(s), on en dénombre déjà beaucoup, prélude à de nouveaux massacres "salutaires", au...
...nom d'un capitalisme réformé aux allures de néo-communisme partagé. Seule incongruité, l'ultimatum qui a mis fin aux atermoiements du constructeur automobile n'est pas venu des syndicats mais du président, Barack Obama gérant l'affaire dans une logique de politique opérationnelle. L'une des premières illustrations "économiques" de son "yes we can" aura été de convaincre les syndicats de prendre les décisions qu'aucun patron n'aurait pu exiger d'eux. Certes, il a donné des signes de bonne foi solidaire en effaçant purement et simplem[...]
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