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Constructeurs

Toyota récompense ses concessionnaires

Publié le 20 juillet 2007

Par Gredy Raffin
2 min de lecture
Dans le fil des conventions "satisfaction clients" de 2005 et 2006, Toyota a organisé cette année un challenge européen pour ses réseaux, baptisé "Toyota Ichiban Award" (Ichiban signifie "le meilleur" en japonais). 21 distributeurs, représentant 10 pays différents, ont...
Dans le fil des conventions "satisfaction clients" de 2005 et 2006, Toyota a organisé cette année un challenge européen pour ses réseaux, baptisé "Toyota Ichiban Award" (Ichiban signifie "le meilleur" en japonais). 21 distributeurs, représentant 10 pays différents, ont...

...ainsi été récompensés. Satisfaction pour la direction de Toyota France : quatre concessionnaires français ont été mis en avant, ce qui place l'Hexagone aux avant-postes avec le Royaume-Uni et l'Espagne. Un élément important quand on sait que la France a été désignée pays-pilote en Europe pour la qualité du réseau. Les distributeurs récompensés sont fiers de ce prix interne et ont toute liberté pour communiquer sur le sujet auprès de leur clientèle. "Nous sommes très satisfaits et sommes conscients qu'un tel niveau de service n'aurait pas été atteint avant l'ouverture de notre nouveau site il y a deux ans", souligne Laurent Chebeau, responsable des ventes VN chez Toyota LR Car à Villefranche sur Saône. "Une fois les équipes compétentes en place, c'est la motivation qui fait la différence. Par exemple, le taux de satisfaction client apparaît sur les fiches de paie", ajoute Thierry Fruchet, directeur de la concession éponyme à Châteauroux, avant d'avancer une objection : "D'une manière générale, je pense que Toyota devrait enlever les insatisfactions liées aux produits de ce bilan, car cela ne relève pas de la problématique services". Par ailleurs, certains estiment que ce prix devrait être matérialisé financièrement : "Les hommes et les femmes qui font notre réussite n'ont pas des salaires très élevés et une prime individuelle de la marque serait un facteur d'implication et de reconnaissance". Mais tout le monde ne partage pas cet avis : "C'est une question d'état d'esprit, de professionnalisme et de culture d'entreprise et il ne faut pas relier ces valeurs à de l'argent". Et Thierry Fruchet de conclure : "Le plus difficile, ce n'est pas d'atteindre le sommet, mais d'y rester".

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