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Constructeurs

Cupra s'organise

Publié le 2 avril 2019

Par Christophe Jaussaud
2 min de lecture
La jeune marque espagnole a étoffé ses rangs pour continuer à grandir. En attendant le Formentor, les ventes ont doublé sur les deux premiers mois de l'année 2019.
L'équipe dirigeante de Cupra au grand complet.

 

Après une belle année 2018, synonyme de 14 400 ventes dans le monde, Cupra continue sa route et se structure pour cela. En plus de bientôt avoir son propre siège, dans l'enceinte du site de Martorell, la marque a étoffé ses effectifs. A peine plus d'un an après sa création officielle, Cupra compte désormais 70 personnes dans ses rangs.

 

L'équipe dirigeante est aussi au complet avec Luca de Meo à la présidence, Wayne Griffiths (Pdg de Cupra), Antonino Labate (directeur de la stratégie, du développement commercial et des opérations), Jaime Puig (directeur de Cupra Racing), Alejandro Mesonero-Romanos (directeur du design), Mauro Pierallini (directeur produit), Khaled Soussi (directeur des ventes et du marketing) et enfin Xavier Serra (directeur technique de course).

 

De quoi poursuivre la belle progression de ce début d'année 2019 où les ventes, en janvier et février, ont plus que doublé avec 3 600 livraisons (+101,4 %). La Leon Cupra apporte son écot tout comme le Cupra Ateca qui s'est taillé une belle place dans le mix de l'Ateca. Sur le premier marché de la marque, en Allemagne (6 000 unités en 2018), sa part atteint 30 %. En France, ce SUV sans véritable concurrence s'adjuge 10 % des ventes du modèle (+38 %). Une vraie performance que confirme Sébastien Guigues, directeur de Seat France, qui enregistre 100 commandes par mois alors que la filiale avait tablé sur 600 unités pour l'année. La tendance est quasiment la même avec la Leon Cupra.

 

Une marque Cupra qui fait également du bien à la rentabilité puisque celle d'un de ses modèles est trois fois supérieure à son équivalent chez Seat. Une bonne nouvelle pour les distributeurs Seat qui ont installé un corner Cupra dans leur showroom (210 en Europe). De quoi encore améliorer la rentabilité qui, en France, affichait, pour le réseau exclusif, une moyenne de 1,9 % pour l'exercice 2018.

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