
“Il n’y a pas de problème de pénurie énergétique au niveau mondial, mais un problème du transport terrestre, notamment, vis-à-vis de ses émissions de CO2 et de sa dépendance au pétrole. 70 g de CO2/km ne constitue pas un objectif ni même une ambition, nous n’avons tout simplement pas le choix. D’un point de vue environnemental, mais aussi au plan de la qualité de l’air, notamment au niveau local, car la hausse des maladies respiratoires est alarmante”, Jean-Louis Legrand, coordinateur interministériel du plan véhicules décarbonés au MEEDDM.