Le CT entame sa mutation
Lancé en 1992, le contrôle technique va souffler sa vingtième bougie cette année. Et alors que cette délégation de service public devait, à la genèse, rassembler utilisateurs et pouvoirs publics autour de la sécurité de tous, elle divise toujours autant ! Les conducteurs ne reconnaissent pas son utilité, la considérant comme une taxe, tandis que les opérateurs de contrôle mènent une course effrénée à la rentabilité, sur un marché dont l’attrait perçu subsiste, mais où les vérités font plutôt état d’un futur plus austère.
Lancé en 1992, le contrôle technique va souffler sa vingtième bougie cette année. Et alors que cette délégation de service public devait, à la genèse, rassembler utilisateurs et pouvoirs publics autour de la sécurité de tous, elle divise toujours autant ! Les conducteurs ne reconnaissent pas son utilité, la considérant comme une taxe, tandis que les opérateurs de contrôle mènent une course effrénée à la rentabilité, sur un marché dont l’attrait perçu subsiste, mais où les vérités font plutôt état d’un futur plus austère.
En janvier 1992, le contrôle technique des véhicules automobiles devient obligatoire. Plusieurs enseignes se jettent dans la bataille, et installent rapidement un maillage national. Mais, aujourd’hui, la profession attire bien plus de candidats que le parc de véhicules de plus de 4 ans ne peut désormais en accepter. Chaque année, la voix du consensus s’élève pour stigmatiser le nombre trop important de centres qui ouvrent. Et chaque année, tous les opérateurs, réseaux ou ind&eac[...]
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