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Distribution

Conférence Automobile Connectée - Les concessionnaires au centre de l’attention

Publié le 17 février 2015

Par La Rédaction
15 min de lecture
Après avoir publié le JA Connect, il tombe sous le sens d’amener l’échange sur scène. Le Journal de l’Automobile organise donc, en 2015, la première édition de la Conférence Automobile Connectée. Un lieu dédié à l’automobile de demain.
Après avoir publié le JA Connect, il tombe sous le sens d’amener l’échange sur scène. Le Journal de l’Automobile organise donc, en 2015, la première édition de la Conférence Automobile Connectée. Un lieu dédié à l’automobile de demain.

“Nous sommes à la veille d’une formidable révolution qui va bouleverser le secteur de l’automobile. […] Aujourd’hui, tous les ingrédients sont réunis pour faire partir la vague.” Cette analyse provient d’une récente note de synthèse publiée par l’Institut CSA, dont le département Automobile s’est penché sur les questions industrielles et sociétales soulevées par l’essor du véhicule connecté.

Ces mêmes questions qui amènent les experts à se réunir de manière fréquente pour mener des réflexions, évoquer des pistes, avant d’aller tester des solutions et de revenir faire un rapport. “Nous allons apprendre en marchant”, confiait il y a quelques jours Marc Verdet, le président de Traqueur, interrogé sur la complexité à trouver le bon modèle économique. Car il est une vérité : la problématique relève de la commercialisation du concept et non plus de la maîtrise technologique. Et le CSA de corroborer dans sa note : “Aujourd’hui, tout est prêt d’un point de vue technique. Comme pour la révolution numérique, c’est le croisement des données qui va faire demain la différence. Les géants de l’informatique ont commencé par imposer un standard pour qu’un nombre suffisant de développeurs et start-up, avec une imagination sans limite, répondent tous les jours aux nouvelles attentes du consommateur, en faisant interagir plusieurs applications ou sources d’information.”

Les neuf métiers

Dans un monde soumis à la règle de l’hyper segmentation, comment trouver la recette miracle, la formule universelle ? La rédaction du supplément JA Connect, paru en septembre dernier, nous a confirmé qu’à chaque constructeur sa religion. La chaîne de valeur imaginée par les marques ne semble alors tenir qu’à un fil. Si, au bout, il n’y a pas un “opt-in” – un acte d’adhésion du consommateur –, rien de ce qui a été fait par les ingénieurs ne trouve de sens. D’ailleurs, chez Accenture, Maxence Tilliette, spécialiste des services connectés, s’interroge : “Existe-t-il un véritable intérêt pour le consommateur, et si oui, comment l’encourager à utiliser l’écosystème d’applications mis à sa disposition ?”, observe-t-il au fur et à mesure que les marques prennent position sur le marché. Un doute qui n’empêche pas les grands cabinets de faire des prévisions des plus encourageantes. Chez Strategy&, on estime qu’en 2020, le marché lié à la connectivité des automobiles devrait atteindre plus de 115 milliards de dollars à travers le monde. De quoi motiver, sinon aiguiser les appétits.

Le débat de la voiture connectée paraît être partagé entre les constructeurs et lesdits “géants du numérique”. Les gestes de ces derniers sont épiés avec curiosité… et méfiance. Rappelons qu’ils pèsent financièrement et médiatiquement plus que les constructeurs. De fait, leur pouvoir de négociation est bien supérieur à ce que nous avions vu jusqu’à présent chez les prétendants à l’entrée dans l’écosystème des marques.

Mais en prenant le temps de décomposer la chaîne, on recense pas moins de neuf catégories de sociétés sont parties prenantes. Cette liste se compose des constructeurs, des équipementiers (hardware), des fournisseurs d’OS, des fabricants de téléphones, des opérateurs de télécommunication, des acteurs du Web, des gestionnaires de flottes, des banques et assurances, et enfin des enseignes de rechange indépendante. Et savez-vous à quel carrefour tous ces métiers se confrontent ? Celui de la gestion de la plate-forme qui agrège la donnée avant de la valoriser dans une démarche après-vente.

La main sur l’après-vente

De fait, la catégorie de la rechange indépendante nous intéresse plus spécifiquement. Pourquoi ? Parce qu’elle réagit vite. Elle a mesuré le potentiel et plusieurs des grandes enseignes de la réparation, en particulier les centres-autos, s’apprêtent à formuler une offre aux clients français, dès 2015.

Raison pour laquelle nous avons choisi de concentrer cette première édition de la Conférence Automobile connectée sur le monde de la distribution. Un choix éditorial soutenu par la vingtaine d’intervenants qui ont accepté de venir répondre à nos questions durant toute une journée. Il existe des pistes pour les concessionnaires et toutes ne passent pas forcément par les constructeurs. D’où la montée en puissance des boîtiers communicants, installés en seconde monte, dont d’aucuns osent désormais comparer le succès prochain à celui des PND au début des années 2000. Rappelons qu’au 1er janvier 2014, le parc roulant français s’élevait à 38,2 millions d’unités, d’après les chiffres du CNPA. A l’image d’Eliocity, de Drust ou d’Auto Aid, les fournisseurs de boîtiers prétendent pouvoir couvrir les utilisateurs de véhicules sortis au cours des vingt dernières années. La donnée qu’ils remontent doit être valorisée. Ne pas prendre ce paramètre en considération revient, très probablement, à se couper de l’après-vente de demain.

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FOCUS - 3 tendances fortes des derniers grands rendez-vous mondiaux de l’automobile

Le haut débit LTE 4G le Wi-Fi : Cette tendance n’est pas ouvertement poussée par le consommateur, mais les constructeurs souhaitent anticiper un besoin qui se fera évident. A contrario, la demande pour des hotspots Wi-Fi mobiles augmente sous la pression des clients, des gestionnaires de flottes ou encore des chauffeurs routiers, pour pouvoir profiter de divertissements et d’informations via des tablettes et des systèmes mobiles.

La concurrence à l’après-vente : A partir de 2015, l’étendue de l’offre produit étant plus vaste et la maturité allant croissante, on assistera au développement de solutions à valeur ajoutée. Dès lors, il sera possible d’envisager, à l’échelle industrielle, des stratégies de service en vue de conquérir le parc roulant. Une bataille qui a pour enjeu la génération d’entrées à l’atelier.

La convergence de l’automobile et de l’IoT : A mesure que l’Internet des objets s’étend à de nouvelles applications, la voiture se transforme alors en “proxy” qui aidera à concrétiser le mode de vie connecté de demain. La technologie intelligente va de plus en plus s’intégrer dans notre quotidien et modifier nos interactions avec le monde, y compris au volant.

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TABLE RONDE 1

La dernière édition du Consumer Electronic Show de Las Vegas a ouvert une fenêtre sur l’avenir de l’automobile. Les annonces et levers de voile furent à ce titre nombreux. Cela résulte d’une décennie de travail collaboratif et de réflexion que les constructeurs et leurs équipementiers ont menés.

Parrot
Président fondateur de Parrot, Henri Seydoux a fait de son groupe un partenaire privilégié de grands constructeurs et industriels. Au début du mois de janvier, il a présenté à Las Vegas la prochaine génération de systèmes d’info-divertissement connecté. Son produit RNB6 a d’ailleurs été auréolé d’un prix à l’ouverture du salon pour son intégration de technologie.

TomTom
Les signatures s’enchaînent pour le groupe néerlandais, qui propose ses services à toutes les plus grandes marques du monde, à commencer par Renault. Nicolas Burger, le directeur marketing France, reviendra sur les années d’expérience engrangées avec le constructeur au losange et dévoilera les chantiers en cours.

General Motors France
Ophélie Sanchez, responsable marketing produit, suit depuis le début la commercialisation du système IntelliLink, au sein de la gamme Opel. Forte de cette position, elle partage les chiffres et les analyses du constructeur, alors que, d’ici quelques semaines, General Motors lancera une offensive avec OnStar, son service connecté. Un avant-goût des annonces de Genève 2015.

Bosch
On ne présente plus ni Bosch, premier équipementier mondial, ni Franck Cazenave, son directeur marketing et innovation en France. Globe-trotter et au fait des principales tendances sur le marché de la connectivité, il détaillera le plan stratégique de l’équipementier que l’on retrouve désormais à bord des Jaguar Land Rover, avec MySpin.

Jaguar Land Rover
Le constructeur britannique lance InControl Apps, sur la base du système Bosch, MySpin. Membre du directoire, en charge de la connectivité pour le compte du groupe, James Drake-Lee a pour rôle de positionner les produits Jaguar Land Rover sur un terrain appartenant en grande majorité aux Premium allemands.

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TABLE RONDE 2

Le client doit être au centre de l’attention. Il faut le comprendre pour lui adresser les bons messages. A la théorie s’oppose la réalité du terrain. Dans un échange direct, le cabinet Deloitte et Ford France confrontent leurs idées dans un but constructif.

Deloitte
A l’automne dernier, le cabinet Deloitte a publié une étude traitant des attentes consommateurs et en particulier des différences entre les générations.
Dans une version élargie, Guillaume Crunelle apporte un éclairage et prouve que les exigences des “jeunes” ne sont pas forcément les plus fortes dans le registre de la technologie embarquée.

Ford
Avec 10 millions de véhicules connectés à travers le monde, Ford fait partie des incontournables sur le sujet.
Le constructeur a présenté la troisième génération de son système Sync3.
L’occasion de venir partager sa vision marketing grâce à l’expertise de Fabrice Devanlay, directeur communication de la filiale française de la marque.

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TABLE RONDE 3

Sur fond de croissance exponentielle du nombre d’objets connectés, la bataille des plates-formes de gestion des données aura lieu. A ceci s’ajoute une dimension sociétale complexe à aborder à l’échelle locale comme internationale.

Altran
Le groupe Altran collabore avec de nombreux constructeurs, notamment français, sur la problématique de la connectivité des véhicules. Avec Microsoft, Altran a bâti une plate-forme de gestion et de valorisation des flux, en provenance des véhicules, dont Julien Clausse, directeur marketing Intelligent Systems Solution, fait la démonstration pratique, sur la base d’une expérimentation.

Orange Business Services
Orange Business Services figure parmi les valeurs d’avenir. Le groupe a clairement fait du Big Data un axe stratégique, au point d’avoir, l’an passé, procédé à une refonte de ses ressources humaines. Par ailleurs, il reste l’un des premiers fournisseurs de solutions de gestion flotte en Europe. Samuel Loyson, le directeur marketing Connected Cars, répond aux questions sur la stratégie.

IBM
Cinquième marque la mieux valorisée au monde, IBM est un modèle d’adaptation aux exigences du monde moderne. Au rang des dernières annonces, on compte la prise en charge de l’infrastructure de Fiat Chrysler Automobiles, mais également de PSA Peugeot Citroën et BMW Group. Patrick Chigard, Business Development Executive, Automotive Industry., décrypte la feuille de route établie par la multinationale.

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TABLE RONDE 4

Les véhicules connectés envahissent les halls des points de vente. Il n’est désormais plus question d’être passif, mais plutôt de transformer les méthodes de travail pour s’approprier ce produit à forte valeur ajoutée.

IHS
Fort de sa représentativité à travers le monde, le cabinet introduit la table ronde avec des données macroéconomiques sur les volumes de vente actuels de la connectivité et les immatriculations prévisionnelles.

PSA
A l’été 2014, le constructeur français a démarré une offre de service à destination des flottes automobiles. Celle-ci propose de connecter les véhicules à une plate-forme agnostique.
Ce projet constitue une nouvelle étape dans la stratégie du groupe. Julien Annede, en charge de la commercialisation des services connectés, accepte de faire le bilan sur les résultats.

MSX International
MSX International s’est imposé comme l’un des relais des constructeurs auprès des concessionnaires.
La mutation que nous vivons avec le véhicule communicant ne leur échappe donc pas et pousse les forces à évoluer pour apporter un conseil plus adapté. La théorie d’une remise en question de l’organisation des points de vente interpelle, comme Yves Bozinovic, directeur des solutions avant-ventes, nous le rappelle.

Autovista
Comment aborder le véhicule connecté sans ouvrir le chapitre de la revente sur les parcs occasion ? Yoann Taitz, analyste marché d’Autovista, planche déjà sur le sujet.
A défaut d’avoir beaucoup de recul, il a des pistes sérieuses sur les tendances d’avenir, notamment liées aux flux de véhicules et la valorisation des équipements.

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TABLE RONDE 5

En 2015, les ateliers vont se structurer pour capter la clientèle connectée. Mais les concessions ne sont pas les plus au fait sur le sujet et les centres-autos pourraient avancer leurs pions bien plus vite qu’on ne le croit. Que faire alors, sans céder à la précipitation ?

ICDP
La France, en réalité, se montre un peu en retard sur les prises d’initiatives. Les consultants d’ICDP nous proposent un panorama des modèles à retenir.

Auto Aid
Et si les informations techniques de chacun des modèles de véhicules étaient hébergées sur une plate-forme et qu’un boîtier communicant permettait d’interroger la base pour faire de l’auto-diagnostic ?
Plus concrètement, comment les enseignes et leur réseau de points de réparation peuvent-ils se positionner sur la connectivité pour accroître leur performance à l’après-vente ?
Voila le modèle économique que défend Christian Demenais, importateur de la solution Auto Aid en France.

Drust
Fruit de la réflexion de trois ingénieurs ayant travaillé dans l’automobile, Drust, avec Mickaël Fernandez comme président, est une start-up qui ambitionne de rendre la conduite plus intelligente en donnant aux conducteurs des outils d’analyses basés sur les informations issues de la prise OBD. Et l’application va plus loin, avec des rapports sur l’état des éléments critiques (pneu, huile, frein…).

Eliocity
Ce nom n’est plus inconnu dans le paysage automobile. Cette société du groupe Mobivia (par ailleurs propriétaire de Norauto, N.D.L.R.), a lancé Xee, soit un boîtier communicant multiservice. Signe évident de la volonté de démocratiser la technologie : il est commercialisé sur les sites d’e-commerce tels que Amazon et LDLC. com.
Un potentiel commercial que le directeur général d’Eliocity, Stéphane Derville, vient aider à évaluer.

Allianz
En juin dernier, Allianz France a lancé Allianz Conduite Connectée, soit une offre de service qui comprend un boîtier embarqué communicant et une application mobile de gestion.
L’assureur a plus largement entamé, depuis septembre 2013, une mutation en interne afin d’exploiter au mieux le potentiel offert par le numérique, sous l’égide de Delphine Asseraf, directrice du département Digital.

Accenture
En 2015, plusieurs constructeurs devraient faire des annonces quant à l’exploitation de la donnée à l’après-vente, dans une optique de service et de production de chiffre d’affaires. En tant que conseil auprès des industriels, Accenture contribue à l’élaboration des stratégies. De quoi offrir un regard sur les pistes crédibles, dont Maxence Tilliette se fait le relais.

Ptolemus
Frédéric Lassara était, il y a encore peu de temps, membre des équipes de PSA Peugeot Citroën. Son expertise de la connectivité et du mode de fonctionnement des constructeurs, il la met désormais au service du cabinet Ptolemus et surtout des concessionnaires désireux de mener un changement stratégique.

Groupe Bernard
Dans le paysage de la distribution, le groupe Bernard est une institution. Le temps est venu pour cet opérateur de se poser les bonnes questions et de définir une ligne de conduite. Membre de groupes de travail et en charge du marketing pour l’ensemble des concessions, Antoine Raguet partage ses premiers éléments de réflexion.

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TABLE RONDE 6

Déjà connectée et bientôt autonome, l’automobile va connaître de profonds bouleversements industriels et technologiques au cours de la prochaine décennie. De la ville au point de vente en passant par la relation au produit ou les services intégrés à celui-ci, c’est tout un ensemble qui devra être réinventé. Avec quelles initiatives et projets ? Dans quelles perspectives ? Selon quelle gouvernance ? Autant de questions auxquelles répondront quatre intervenants.

Akka Research
Il n’est plus exceptionnel de noter la présence d’Akka Research sur les salons automobiles car le centre de développement fait désormais partie intégrante du paysage. Philippe Obry, le président, synthétisera les travaux menés sur le projet Link & Go, vision futuriste de la conception des véhicules et de mobilité en général.

Here
Avec Here Auto, le groupe finlandais représenté par Bruno Bourguet, senior vice-president of Sales and Business Development, a achevé sa mutation, passant d’un rôle de cartographe à celui d’éditeur d’une plate-forme globale. Celle-ci offre à l’utilisateur une expérience de mobilité connectée et multi-plateforme, au travers d’un espace personnalisé. Cette vision entend répondre à toutes les problématiques de l’utilisateur, mais aussi à toutes celles de l’environnement.

Issy-les-Moulineaux
La commune d’Issy-les-Moulineaux (92) compte parmi les modèles du genre. Accueillant de nombreuses entreprises (Microsoft, Bouygues Telecom…) dans son quartier des affaires, la ville a toujours fait place à l’expérimentation. Un esprit d’initiative dont Eric Legale, directeur général d’Issy Media, fera part avec le public.

Polyconseil (Autolib’)
Avec son service d’autopartage, Autolib’ a ouvert une brèche vers une nouvelle forme de mobilité. Moins pécunier, plus utilitaire et totalement connecté, cet innovant modèle a permis au véhicule de dépasser sa simple fonction de déplacement pour se mettre entièrement au service de l’automobiliste. Sylvain Géron, associé chez Polyconseil, partenaire de Blue Solutions, revient sur les défis numériques à relever dans un tel projet.

Koolicar
Nouvelle venue dans le paysage, cette start-up prend place sur le marché de l’autopartage entre particuliers. Une niche qui ne cesse de croître et qui mérite d’être mieux considérée. Frédérique Lorentz, la directrice marketing, partage l’expérience de Koolicar et sa vision de la mobilité collaborative.

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FOCUS - Les prix de la CAC

La journée de débat s’achève avec la distinction de trois entreprises, dans autant de catégories. Après dépôts de dossiers, quatre candidatures ont été sélectionnées pour avoir le droit de soutenir les projets sur scène, avant soumission aux votes d’un jury et de l’assistance.

Les deux autres prix ont été décernés par la rédaction du Journal de l’Automobile, sur la base du travail quotidien de veille. Ces trophées viennent saluer le potentiel d’une solution connectée lancée en 2014 (Prix Solution connectée) ou un objet lequel, par extrapolation, profitera à l’industrie automobile (Prix Objet communicant).

Romain Baly et Gredy Raffin
 

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