Le marché allemand rebondit
Après une baisse de 1,4 % en janvier 2019, le marché allemand est reparti à la hausse en février avec une croissance de 2,7 %. Depuis le début de l'année, le premier marché d'Europe gagne 0,6 %.
Porté par le dynamisme des utilitaires légers et le retour de la croissance du côté des voitures particulières, le marché des flottes a progressé de 5,6 % au mois de février, à 68 778 immatriculations. Il affiche 134 116 unités depuis janvier (+ 4,5 %).
Avec 479 428 immatriculations, l'ensemble du marché japonais gagne 1,2 % en février 2019. Nissan et Subaru sont en difficulté alors que Mitsubishi et Toyota gagnent du terrain.
En février 2019, le marché du véhicule neuf particulier a été marqué par des performances extrêmement contrastées selon les groupes et les marques. PSA fait tout de même l’unanimité en enregistrant la meilleure croissance.
Les dernières statistiques de l'Acea montrent un recul de 18,3 % des immatriculations de véhicules diesel dans l'Union européenne en 2018, au plus grand bénéfice de l'essence. La part des véhicules électriques atteint 2 % du marché.
Pour le premier mois de l’année, la demande européenne en VUL s’est accrue de 6,1 %. Chacun des cinq plus gros marchés a bénéficié de cette dynamique, selon l'ACEA.
Après la baisse historique de 2018, une première depuis 20 ans, les ventes de véhicules neufs ont à nouveau reculé en janvier 2019 de 15,8 % et seulement 2,37 millions d'unités écoulées.
En 2018, la part du diesel dans les immatriculations européennes de VP est tombée à moins de 36 %. Une chute au profit de l’essence mais aussi, dans une moindre mesure, des motorisations électrifiées dont la pénétration reste cependant faible.
Selon une étude du centre d'observation belge Gocar Data, 30 % des véhicules d'occasion représentant une valeur marchande de 805,2 millions d'euros attendent de trouver preneurs depuis au moins quatre mois.
Avec un recul de 8 % en janvier à 93 456 unités commercialisées, le marché espagnol enregistre un cinquième mois consécutif de baisse.
Après une fin d'année 2018 difficile, le marché allemand débute l'exercice 2019 avec une baisse de 1,4 %. Le passage au WLTP n'est toujours pas complétement digéré alors qu'une crainte de ralentissement économique pointe.
Après un exercice 2018 en retrait (-0,8 %), le marché du véhicule de seconde main redresse la tête sous l'impulsion des VO récents. En effet, ceux de moins de 4 ans progressent de 15,7 % en janvier.
2019 débute sur une note positive pour le marché des flottes avec 65 338 immatriculations de VL au compteur, un total en progression de 3,4 % par rapport à janvier 2018. Le repli constaté du côté des VP (-2,3 %) est compensé par la forte poussée des VUL (+11,6 %).
2019 s'annonçait compliquée pour le marché automobile français, janvier confirme déjà les craintes. Ce premier mois de l’année a été marqué par un repli des immatriculations de 1,1 %. Voici les dix points marquants, selon les données AAA Data.
Pour la première fois depuis 2007, le marché des VUL en Europe a dépassé les deux millions d’unités malgré les derniers mois 2018 plus compliqués.
L'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), a révélé les principaux chiffres du marché automobile européen du véhicule particulier. En résumé : une stagnation pour cette année 2018, marquée par des performances très contrastées selon les pays et les marques.
Après une bonne année 2018, où les ventes ont progressé de 12,8 %, le marché russe devrait rester bien orienté en 2019 mais avec une croissance moins forte.
Pour la première fois depuis 20 ans, les immatriculations en Chine ont reculé de 5,8 % pour atteindre 22,4 millions de véhicules sur l'année 2018.
Le marché de la seconde main a retrouvé des couleurs en 2018 avec une hausse des transactions de l'ordre de 6,6 % à plus de deux millions d'unités écoulées. Les VO de moins de trois ans ont tiré ce marché avec une progression de 22 % et 440 443 unités.
Tous les voyants sont au vert pour le marché du véhicule industriel. En 2018, ses immatriculations ont affiché une forte croissance, atteignant les 54 500 unités. Porteurs, tracteurs, VUL… tous les segments en ont profité.
Selon l’Observatoire Cetelem, le marché automobile mondial montre des signes d’essoufflement depuis le second semestre 2018. Une méforme qui pourrait déboucher sur une croissance très faible en 2019.
Selon les données AAA Data, le grammage moyen en CO2 des véhicules particuliers neufs vendus en France a atteint 112 g. A l’origine de cette hausse, la combinaison du recul du diesel, du succès des SUV et de l'application du cycle WLTP.
Les ventes de voitures neuves ont chuté de 6,8 % au Royaume-Uni en 2018, à 2,36 millions d’unités. Un déclin lié à l’effondrement de la demande en véhicules diesel, de près de 30 %.
Avec un mois de décembre au ralenti (-0,8 %), le marché de la seconde main termine l'exercice 2018 en retrait de 0,8 % totalisant 5,63 millions d'unités. Mais les VO de moins de 5 ans représentent désormais 36 % des transactions.
Passablement perturbé par l’entrée en vigueur du cycle WLTP, le marché automobile a malgré tout terminé l’année en progression de 3 %. Des disparités entre les constructeurs ont toutefois été constatées, certains ayant renforcé leurs positions sur des canaux sains, d’autres ayant eu recours aux immatriculations tactiques.
Avec 3,44 millions d'immatriculations en 2018, le premier marché d'Europe a reculé de 0,2 %. Un dernier quadrimestre tronqué par le WLTP explique en partie cette baisse. Pour 2019, les immatriculations devraient rester stables.
La tête du classement des véhicules particuliers les plus vendus aux professionnels fait la part belle aux Français, mais aussi aux SUV qui s’imposent désormais largement.