Les parts de marché des VO les plus jeunes gagnent une nouvelle fois du terrain au mois d’août 2019. La tendance bénéficie naturellement aux professionnels, qui écoulent majoritairement les occasions de moins de 5 ans.
Avec un tiers des immatriculations de véhicules particuliers en moins, les diesels neufs ne représentent plus que 30,75 % des ventes au mois d’août 2019. Depuis le début de l'année, cette motorisation compte 33,9 % de parts de marché avec 497 832 immatriculations.
Avec 50 446 immatriculations cumulées de voitures particulières et d’utilitaires légers en août 2019, le marché des flottes se maintient au même niveau qu’en août 2018, une cuvée record. Le léger tassement du côté des VP est compensé par une forte dynamique des VUL.
Sur un marché mondial du VE en croissance de 92 % durant le premier semestre 2019, la Tesla Model3 est en tête des ventes devant des modèles chinois portés par leur marché domestique.
Au terme des sept premiers mois de l'année, la dichotomie est plus claire. Les acheteurs de véhicules d'occasion se tournent largement vers les produits les plus récents.
Le mois de juillet a été un calque du mois de juin en matière d'équilibre des forces entre les modes de carburation des VO. Le diesel a stabilisé sa pénétration autour des 62 %.
Comme tous les mois, le Journal de l'Automobile dresse la liste des modèles de véhicules particuliers qui ont totalisé le plus de transactions sur le territoire français. La Clio et la 208 sont indéboulonnables.
Face à une croissance en berne, dont le secteur automobile peut témoigner, le gouvernement chinois veut relancer la consommation et les ventes de véhicules, y compris des VO.
Le mois de juillet a été bénéfique au segment du véhicule d'occasion. Les 567 042 transactions comptabilisées correspondent à une hausse des volumes de 8,89 %, par rapport à l'an passé. Après sept mois, l'évolution se veut positive.
Malgré un repli au mois de juin 2019, le marché européen du véhicule utilitaire léger boucle le semestre avec une progression de 3,8 %. Côté français, les voyants sont au vert, à la fois au mois de juin et sur la première partie de l’année.
Avec des immatriculations en baisse de 9,6 % en juin 2019, le marché chinois vient d'enregistrer son douzième mois consécutif de repli. Seule consolation, les ventes de modèles électrifiés progressent fortement.
Avec une baisse de 8,3 % en juin 2019, le marché espagnol conclut le premier semestre sur un recul de 5,7 %. Le canal des particuliers, en chute de 12,3 %, explique en grande partie ses résultats.
Selon les résultats du baromètre annuel d'Autoviza, les vendeurs professionnels ont gagné 4 points pénétration sur le segment des véhicules d'occasion, par rapport à l'an passé. Une percée qui s'associe à la volonté d'acheter un produit plus récent.
Certes ce n'est pas la plus échangée durant le mois de juin 2019, mais la Peugeot 308 de deuxième génération a résisté à la morosité pour signer la meilleure performance de la période. Ce qui conforte son dynamisme semestriel.
Après avoir envisagé une croissance de 3,6 % sur l'année 2019, les constructeurs présents en Russie estiment aujourd'hui que l'exercice sera au mieux stable.
Alors que le Brexit approche, le marché britannique des VP a reculé de 4,9 % en juin 2019 et de 3,4 % depuis janvier. La seule bonne nouvelle vient des VUL dont les immatriculations ont grimpé de 13,5 % le mois dernier et de 8,7 % au cumul de l'année.
Avec trois jours ouvrés de moins en juin 2019, le marché allemand a reculé de 5 %. Depuis le début de l'année, la stabilité est de mise avec 0,5 % d'immatriculations de plus.
Après une diminution conséquente au cours de la dernière décennie, les émissions moyennes de CO2 des voitures particulières neuves ont légèrement augmenté dans différents pays européens, France y compris.
Les deux jours ouvrés de moins ont pesé lourd dans le bilan mensuel du marché de l'occasion. Les ventes ont fondu de 10,13 % par rapport à 2018. Le semestre s'achève en retrait de 0,2 %.
Au terme du premier semestre 2019, les ventes de véhicules d'occasion dotés de motorisation essence ont progressé de 5,75 %, selon le baromètre Autoscout24. La part de marché des diesel recule de 2 points, à 62 %.
Sur le premier semestre 2019, la baisse du marché atteint 1,8 %, soit un volume de 1 166 445 véhicules neufs. Un niveau quasi stable par rapport à 2018, si l'on considère le jour ouvré de moins enregistré cette année. Le segment des particuliers ne pèse que 44,2 % de ce total.
Avec 451 629 unités cumulées entre janvier et juin, un total en hausse de 8,1 %, le marché des flottes a atteint un niveau historique. Principaux faits marquants : l’explosion de la demande en modèles essence et le déclin du diesel.
Chers lecteurs, à la suite d'un retard dans la transmission des données du ministère de l'Intérieur, nous ne sommes pas en mesure de vous livrer le détail des immatriculations du marché, comme chaque mois. Nous sommes désolés de ce désagrément et vous garantissons une livraison dès réception. En attendant, voici le détail par groupe et marque.
A mi-parcours, l’exercice 2019 se révèle plus prolifique que prévu pour les distributeurs de véhicules industriels et utilitaires. Les ventes sur ces deux segments ont en effet progressé, en particulier pour le VUL qui affiche des niveaux records.
Après avoir envisagé une légère hausse de 1 % des immatriculations en Europe, l'Association des constructeurs européens revoit ses prévisions de marché et parie plutôt sur une baisse de 1 % pour l'année 2019.
Pour la deuxième année consécutive, le premier marché automobile du monde devrait reculer. Après -3 % en 2018, LMC Automotive estime maintenant que la baisse sera de 5 % en 2019.
Avec une hausse de 5,8 %, selon les chiffres de l'ACEA, le marché européen des VUL a connu un bon mois de mai. Depuis janvier, la croissance est de 5,9 %.
Selon AAAdata, le marché français devrait retrouver en 2019, le niveau de 2011 avec près de 2,19 millions de véhicules vendus. Pour ce spécialiste de la data, la croissance des ventes de voitures neuves atteindrait 0,38 %.
Après 8 mois consécutifs de baisse, le marché européen se stabilise en mai 2019 (+0,1 %) mais depuis janvier le recul reste marqué avec -2,1 %. Dans ce contexte, PSA grignote 0,7 point de part de marché alors que le groupe Renault, en attendant les effets de la nouvelle Clio, perd 0,5 point.
Alors que les ventes de véhicules premium se sont contractées de 10 % au cours du premier trimestre 2019, une récente étude du cabinet Jato tente d'apporter des réponses sur les raisons de cette tendance.
L’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) fait état d’un âge toujours plus avancé du parc roulant des véhicules particuliers, utilitaires et industriels en Europe.
Durant les trois premiers mois de l'année, le marché mondial des véhicules électriques et hybrides rechargeables a grimpé de 76,7 %. La Chine demeure le principal marché et BYD, un constructeur chinois, est devenu le premier constructeur du genre dans le monde.
En mai 2019, les entreprises, administrations et loueurs longue durée ont une nouvelle fois porté le marché automobile avec 44 580 immatriculations de voitures particulières (+17,8 %) et 29 329 d’utilitaires légers (+9,9 %). Les flottes progressent de près de 10 % depuis janvier.
A la faveur d'un calendrier favorable, les immatriculations de véhicules neufs ont réalisé un bond en mai 2019, outre-Rhin. Les concessionnaires ont livré 332 962 unités, soit 9,1 % de plus que l'an passé.
Avec 6,5 % de gagnés en mai 2019, totalisant 369 120 immatriculations, le marché japonais confirme la tendance observée depuis janvier. Mais la fin d'année pourrait être plus difficile.
Les chiffres du marché 2019 sont sans appel quant à la part des ventes aux particuliers. Mai 2019, avec 40,5 % des cartes grises adressées aux particuliers, reste très faible. Ce canal de vente perd 4 points depuis le début de l'année.
En mai 2019, la légère croissance du marché automobile français a permis d'atteindre une parfaite stabilité depuis le début de l’année. Tous les canaux n'ont cependant pas été à la fête.