Les immatriculations de véhicules d'occasion, en février 2020, donnent à peu près la même répartition que le mois précédent, laissant penser que le marché a trouvé son équilibre. Et à ce jeu, le diesel domine toujours.
Les véhicules d'occasion âgés de moins de six mois ont enregistré une progression de 35,4 %, en février 2020, portant leur pénétration à 6 % du volume total. Les produits les plus vieux ont aussi connu un essor durant la période (+17 %).
Peugeot se place en tête du marché français en février 2020 avec 32 326 immatriculations et obtient une part de marché de 19,3%. Guillaume Couzy, directeur du commerce France, confirme des carnets de commandes en forte croissance.
Pour le deuxième mois de l'année, les émissions de CO2 se sont établies à 101,3 g, selon les données AAA Data. Une hausse de 5,7 g qui prouve toute la difficulté à respecter les normes CAFE.
Le marché du VP neuf a été marqué par une nouvelle chute en février 2020. Le canal des particuliers a continué sa dégringolade, tandis que les immatriculations de véhicules électrifiés ont pris de l'ampleur.
Les immatriculations de voitures particulières et utilitaires légers repartent à la hausse de près de 10 % en février 2020 après le coup de mou de janvier. Les électriques et hybrides sont une nouvelle fois à des niveaux inédits.
Avec 496 232 transactions, le marché de l'occasion a progressé de 8,6 % en février 2020. Un excellent début de millésime puisqu'au cumul la croissance est déjà de 10,5 %.
Avec un total de 184 764 immatriculations de deux-roues motorisés, en hausse de 12 %, la France confirme son dynamisme en même temps que son statut de premier marché européen.
L’épidémie mondiale de Coronavirus vient un peu plus compliquer un marché automobile mondial déjà confronté à des difficultés. Les ventes pourraient baisser de 2,5 % en 2020 selon Moody's.
Après un mois de décembre 2019 euphorique, le marché européen du VUL neuf a connu en janvier 2020 une baisse de régime. Chacun des 4 plus grands marchés a souffert.
Jato a pu quantifier la part des véhicules électrifiés dans les ventes totales de véhicules particuliers en Europe en 2019. L’occasion de dresser le top 10 des modèles électriques, hybrides et hybrides rechargeables.
Jato a livré son analyse du marché européen du véhicule particulier pour l'année 2019. L’occasion de confirmer l'engouement des clients pour les SUV, qui frôlent désormais les 40 % de part de marché.
Comme attendu, le marché européen du véhicule particulier neuf a accusé le coup en janvier 2020 avec une baisse de 7,5 %. Dans ce contexte, les groupes français ont particulièrement souffert avec -16,3 % pour Renault et -12,9 % pour PSA.
Au mois de janvier 2020, les SUV ont rencontré un véritable succès sur le marché de la revente. En totalisant 93 500 transactions, ce segment s'est envolé de plus de 25 % selon AAA Data. Les combispaces ne déméritent pas non plus.
Les ventes de véhicules d'occasion ont particulièrement progressé en janvier 2020 dans l'ouest de la France, selon les données de AAA Data. De manière générale, toutes les régions de l'Hexagone ont enregistré une croissance significative.
Pour la 19e fois en autant de mois, le marché chinois a baissé en janvier 2020. Les immatriculations ont chuté de 18 %. Même les véhicules électrifiés ont plongé de 54,4 %.
Avec des immatriculations en hausse de 1,8 %, soit 102 102 nouveaux véhicules mis à la route, le marché russe débute bien l'exercice 2020 malgré des prévisions peu encourageantes pour la suite.
Selon les statistiques AAA Data, les immatriculations VO de janvier 2020 se sont inscrites dans la droite ligne du mois de décembre, dans le registre du mix énergétique. Les motorisations diesel se sont donc maintenues à 58,5 % de pénétration.
En janvier, les immatriculations ont chuté de 7,3 % sur le premier marché européen avec 246 300 unités. La moyenne des émissions de CO2 atteint 151,5 g/km sur le mois.
En janvier 2020, la moyenne des émissions de CO2 en France s'est établie à 95,6 grammes selon les données fournies des AAA Data. Une baisse de 17,4 grammes par rapport à 2019 qui s'explique par une part de 8 % des immatriculations en électrique.
Avec 29 246 immatriculations sur le premier mois de l'année 2020, Peugeot démarre la course en tête. La marque obtient 21,8 % de part de marché et son carnet de commandes, auprès des particuliers, repart même à la hausse depuis deux mois.
Le phénomène était prévisible. L’attentisme des acheteurs français, freinés par une fiscalité durcie au 1er janvier 2020, combiné à des immatriculations anticipées fin 2019, a provoqué sur ce premier mois de l'année un fort ralentissement du marché. La demande des particuliers est au plus bas, celle des professionnels, d’habitude dynamique, fait grise mine.
Selon les statistiques de AAA Data, les ventes de véhicules d'occasion ont entamé l'exercice 2020 par une progression de 12,7 %, à plus de 503 600 unités. Toutes les marques profitent de cet élan de croissance et notamment les premiums allemands.
Alors que les transactions de VO ont connu une entame d'année exceptionnelle, il apparaît que deux segments ont davantage contribué à ce dynamisme : celui des moins d'un an et celui des plus de 15 ans.
AAA Data est parvenu à recenser le nombre précis de véhicules roulant sur les routes françaises. 39 millions de véhicules circulent au 1er janvier 2020, alors que l'administration recense toujours 52 millions de cartes grises.
Le premier mois de l’année 2020 a été synonyme d’explosion pour le marché de l’hybride et de l’électrique en France. Ces modèles ont représenté près de 20 % du total, et la Zoe s’est même glissée dans le top 5 des VP neufs les plus vendus auprès des particuliers.
En janvier 2020, les immatriculations de voitures particulières en entreprises ont reculé de 4,4 %, à 35 077 unités. Ce repli aurait pu être plus conséquent sans l’apport significatif des hybrides et électriques. De leur côté, les utilitaires chutent de 11,3 %.
Selon les statistiques compilées de AAA Data, le marché du véhicule utilitaire d'occasion a enregistré une progression de 4 %, au cours de l'année 2019. Il signe une performance qui fera référence à l'avenir.
Grâce à un bon mois de décembre 2019 (+ 8,2 %), le marché européen du VUL a progressé de 2,8 % sur l'ensemble de l'année avec plus de 2,1 millions d'immatriculations.
Le marché du véhicule industriel, bus et cars compris, se porte bien selon la Chambre syndicale internationale de l’automobile et du motocycle (CSIAM) qui vient de publier son analyse du marché 2019.
Michael Manley a dressé la liste des enjeux auxquels fait face l’industrie automobile, tournée vers la transition énergétique. Et ce, dans un contexte de probable recul des ventes en 2020.
Après plusieurs exercices dans le vert, les ventes de poids lourds devraient enregistrer un repli logique en 2020. D’autant que le transport routier de marchandises (TRM) pourrait connaître une conjoncture moins favorable ces prochains mois.
L'année précédente s’est soldée par une légère croissance de 1,2 % de la demande européenne en véhicules particuliers neufs. Un résultat qui aurait pu être encore plus faible, si le mois de décembre n’avait pas enregistré une croissance historique.
Malgré une augmentation des immatriculations de 2,3 % en décembre 2019, le marché russe termine l'année sur un repli de 2,3 %, à 1,75 million d'unités. L'exercice 2020 s'annonce tout aussi difficile avec une baisse annoncée de 2,1 %.
L'année 2019 a été le théâtre d’une augmentation significative des motorisations électrifiées, même si leur part de marché est restée confidentielle. Mais quelles ont été les marques qui se sont les mieux placées sur ces marchés en France ?
L’année 2019 a été dominée par la Renault Clio IV sur le marché français de l’occasion. Le classement des dix modèles les plus revendus ne laisse que peu de place à des marques autres que Renault et Peugeot.
En 2019, le grammage moyen en CO2 des VP neufs immatriculés en France est resté stable. Certaines marques ont pourtant connu de fortes augmentations, un mauvais présage au regard de l’échéance de 2021.
Malgré une baisse de 1,3 %, à plus de 17 millions d'unités, le marché américain est resté en 2019 à un niveau élevé. Pour 2020, année de l'élection présidentielle, les experts ne s'accordent pas entre stabilisation et nouveau repli.