Bilan critique pour le VUL

Avec un total de 29175 immatriculations enregistrées au mois de septembre 2013, le marché français des véhicules utilitaires légers neufs (moins de 5,1 tonnes) a subi un nouveau recul de 2,9% par rapport à septembre 2012. Les marques françaises, qui accusent une légère baisse de 1,6%, sont parvenues à glaner quelques points de parts de marché en l'espace d'un an. Renault a limité la casse (-1,4%) et vu sa part grimper à 37,1% en septembre, tandis que Citroën a confirmé sa montée en régime avec une hausse de 0,8% de ses immatriculations et une part de marché de 17%. Parmi les marques importées, seules Mercedes-Benz et Iveco ont enregistré des variations positives en septembre, avec respectivement des hausses de 14,7% et 11,1%.

Citroën reprend son bien

Au cumul des neuf premiers mois, un total de 266948 véhicules utilitaires a été immatriculé en France, soit un repli de 7,1% par rapport à la même période de 2012. Malgré un recul de 13,1% depuis janvier, Renault est repassé au-dessus de la barre des 30% de pénétration (30,5%). Sur une pente ascendante depuis le début de l'été, Citroën a reconquis sa deuxième place au dépend de Peugeot. La marque aux chevrons affiche désormais une part de marché de 16,94% et devance Peugeot de 0,14 point. En l'espace de six mois, entre fin mars et fin septembre, la marque au lion a vu sa part de marché fondre de 18,3% à 16,8%. Derrière Fiat, qui conforte son statut de première marque importée avec un volume de 25846 immatriculations, Mercedes-Benz, Ford et Volkswagen sont à la lutte. Le constructeur allemand, qui enregistre une croissance de 5,8% sur neuf mois, revient fort. En revanche, Opel est toujours dans le dur avec une chute de 28,5% depuis janvier.