Le constructeur italo-américain et la société d'ingénierie spécialisée dans la conduite autonome ont décidé d'aller plus loin dans leur partenariat. Leur contrat octroie désormais à FCA le statut de fournisseur exclusif de véhicules utilitaires légers. 
PSA et FCA ont annoncé que le groupe issu de la fusion portera le nom de Stellantis. La finalisation de ce mariage devrait intervenir au premier trimestre 2021. 
Initialement prévu le 22 octobre 2020, le résultat de l'enquête de la Commission européenne sera finalement dévoilé le 13 novembre. Un report qui laisse supposer des concessions de la part des constructeurs. 
Dans un contexte de pandémie du coronavirus, encore loin d'être maitrisée aux Etats-Unis, Ford, GM et FCA, ont vu leurs ventes américaines se contracter de plus de 30 % au cours du deuxième trimestre 2020. 
A l'occasion de l'assemblée générale de FCA, John Elkann, le président du groupe italo-américain, a rappelé que la crise sanitaire actuelle a renforcé le bien-fondé de la fusion engagée avec PSA. 
Les actionnaires de PSA, réunis en assemblée générale ce jeudi 25 juin 2020, ont voté à 99 % les résolutions appuyant le principe et le schéma initial de la fusion avec FCA. Un mariage toujours attendu pour le premier trimestre 2021. 
L’État italien vient d'accorder sa garantie pour un prêt bancaire de 6,3 milliards d'euros obtenu par FCA. Toutefois, le gouvernement précise que ce soutien ne vaut que pour la filiale locale et qu'il surveillera les engagements pris. 
Le fonds Phitrust juge les conditions de la fusion déséquilibrées, au détriment des actionnaires de PSA. Il souhaite agglomérer les petits actionnaires, lors de la prochaine assemblée générale du groupe tricolore, pour rejeter les résolutions confirmant le schéma initial. 
En échange d'investissements de plus de 6 milliards d’euros dans le pays et de l'engagement à ne supprimer aucun emploi d'ici 2023, FCA est en passe d'obtenir la garantie de l'Italie pour un prêt de 6,3 milliards d'euros. 
Faute de réponse des constructeurs sur les craintes au sujet du marché des VUL, la Commission européenne devrait lancer une enquête approfondie sur la fusion entre PSA et FCA. Une procédure qui pourrait durer quatre mois. 
La Commission européenne s'est dite préoccupée par la position dominante dans le VUL qui découlerait de la fusion. Les deux constructeurs ont jusqu'au mercredi 10 juin 2020 pour répondre aux craintes de Bruxelles. 
Le constructeur italo-américain devrait obtenir un prêt garanti par l'Etat italien de 6,3 milliards d'euros. De quoi soutenir l'activité de ses 16 usines et 26 sites dans le pays où il emploie 55 000 personnes. 
Le groupe italo-américain travaille à l'obtention d'un prêt garanti par l'Etat italien d'un montant maximal de 6,3 milliards d'euros. De quoi soutenir les activités italiennes du constructeur qui emploie directement 55 000 personnes dans le pays. 
Les deux constructeurs ont annoncé, dans un communiqué commun, qu'ils renonçaient à verser à leurs actionnaires un dividende ordinaire de 1,1 milliard d'euros. Une décision qui ne remet pas en cause la fusion toujours attendue pour début 2021. 
Le groupe italo-américain vient d'annoncer une lourde perte pour le compte du premier trimestre 2020. La fusion avec PSA n'est toutefois pas remise en cause. 
Carlos Tavares a indiqué que le rythme de travail des équipes s'accélérait pour arriver à la fusion le plus tôt possible. La problématique des dividendes, en cette période de crise, ne remet pas en cause le projet. 
Pour garder le contact avec ses clients, FCA déploie dans ses réseaux européens, notamment français, le programme Distributeur Virtuel. L’idée : organiser des rendez-vous commerciaux via la vidéoconférence. 
Le patron du groupe italo-américain a indiqué que la protection de la santé financière de l'entreprise allait rimer avec une baisse des salaires pour les dirigeants et des reports pour certains salariés. 
Alors que le travail se poursuit entre les deux entreprises pour arriver à la fusion souhaitée, la crise actuelle et ses conséquences économiques font naître quelques craintes quant à l'avenir de ce mariage entre égaux. 
Le président du conseil de surveillance du groupe français, qui devait achever son mandat au printemps 2020, va finalement poursuivre jusqu'à la fusion entre PSA et FCA. 
